Myriam se révèle
Datte: 01/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Aqw12, Source: Hds
... j’ai laissé dans l’entrée en arrivant. »
« Parfait. Tu te prépares et je te sors ma poulette ! »
Je suis stupéfaite. Voilà qui n’était pas prévu. Il fait si doux en ce mois de mai que c’est avec plaisir que je porte cette robe rouge à bretelles au jupon mi-cuisses très évasé. Le décolleté en V est très provocant mais j’ai choisi un bel ensemble en dentelle rouge dont le petit nœud de satin qui trône visiblement (dès que je me penche) entre les bonnets du soutien-gorge a son semblable en haut de la bande de tissus sortant de ma raie des fesses sur le string assorti. Je me trouve belle et j’ai rangé mes bottes leur préférant des escarpins ouverts à talons compensés. Il n’est que 11h30 mais mon étalon a peut-être envie de m’inviter à déjeuner. Il m’explique que même si l’endroit où nous nous rendons n’est pas loin, nous prendrons ma voiture afin que je puisse partir au travail directement ensuite. Il conduit et en effet, se gare bien vite devant un bar peu engageant. De moins en moins rassurée je le suis et m’attend au pire.
« Salut la compagnie » hurle-t-il goguenard.
Un homme rouge à lunettes, sans âge avec un ventre énorme lui répond aussi sec ! « Enfin, on a failli attendre »
Je suis très inquiète. L’acte 4 va-t-il me plaire ?
L’homme ventripotent se lève difficilement et roule plus qu’il ne marche vers une petite pièce du fond. Mon amant s’adresse au patron qui se tient derrière le bar. « Je vais voir les gars, je te confie la jument. Tu nous l’amène dans ...
... deux minutes ? » C’est donc moi « la jument » puisque c’était en me désignant du menton qu’il a dit cela. « Tu pourrais amener tes poufiasses ailleurs » éructe la petite bonne femme insignifiante qui dépasse à peine derrière le comptoir mais qui s’avère être la patronne. « Et ne me dégueulassez pas le billard cette fois-ci ! »… puis posant enfin son regard méprisant sur moi, elle enchaîne : « Et une bamboula cette fois-ci ! Ben ça manquait, tiens ! » C’est ainsi, il faut sûrement s’y faire. A peine à dix minutes du centre de Toulouse, les propos racistes ne se cachent pas !
« Mais Marie-Jo, si je les amène ailleurs, c’est toi que les gars vont finir par baiser, tu sais bien ! Ou alors c’est ce que tu veux coquine, va !» Eclate de rire mon accompagnant en s’engouffrant lui aussi dans la pièce arrière, tandis que Marie-Jo, rouge de colère, hausse les épaules.
Les deux minutes me paraissent interminables. Les deux vieillards avinés accrochés au comptoir me scannent avec insistance. Je me dandine d’une jambe sur l’autre puis enfin, le patron sort de derrière son bar, se place juste derrière moi et me dit : « Allez, au boulot la négresse ! ». Il me pousse légèrement en avant et je me dirige vers la porte. Il me l’ouvre et au moment où je passe à côté de lui, il ne se retient pas et me flanque une magistrale main au cul, m’empoignant vulgairement le train arrière. Je rentre d’un bond dans la pièce où trois hommes et mon chaperon m’attendent assis autour d’une table en bois, ...