Myriam se révèle
Datte: 01/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Aqw12, Source: Hds
... servir ma gentille Myriam ? C’est l’heure de l’enculade ma pétasse ! »
Mais pourquoi diable redresse-t-il la tablette numérique posée sur la table depuis des heures et pourquoi l’allume-t-il alors que son projet est de me sodomiser. Il ouvre un fichier vidéo et je comprends. Sur l’écran, le visage de Patricia dans la même position que moi et au même endroit. Elle est filmée en gros plan mais on voit ses minuscules seins aux tétons bruns très tendus qui pendent modestement. On devine l’homme s’activant derrière elle et en voyant les différents rictus et les différentes grimaces de ma copine, on n’a aucun mal à imaginer ce qu’il est en train de faire. Toujours penché sur mon dos, en se redressant, il saisit un objet sur une chaise voisine mais je n’ai pas le temps de voir de quoi il s’agit. Je vais le comprendre bien vite. Sur la vidéo, le son est bien audible. « Allez ma petite pute, je te la rentre cette fois dans ton petit cul serré ! » Le visage de Patricia se crispe, ses mains s’agrippent à la toile cirée. On devine que le cylindre s’enfonce dans ses chairs. La connaissant, je ne peux pas imaginer qu’il s’agisse de sa première sodomie mais peut-être avec si peu de préparation et d’égards…
Au même moment, tandis que je ne me soucie plus du tout de ma mamelle baignant dans le café, je sens que c’est mon anus à moi que sa tige est en train de forcer. Mais ce n’est pas tout, je sens un objet que je reconnais tout de suite pour un gode me pénétrer la chatte. Les deux ...
... gourdins s’enfoncent en moi simultanément si bien que la progression du gode dans mon sexe m’empêche de pousser mon anus confortablement pour le rendre accueillant. En face de moi, Patricia est maintenant pilonné, défoncé et elle crie, gémit, se mord les lèvres, bouge sa tête dans tous les sens. En moi, le gode arrête d’avancer mais d’un coup de rein sauvage, il pousse son gland en fond de mes entrailles. Ce coup de boutoir me secoue et mon sein renverse le bol de café qui se répand sur la toile cirée. Puis c’est la bite qui recule et le gode qui s’enfonce brutalement, au plus loin. Et ainsi, pendant de longues minutes, il va me prendre les orifices en alternant l’action des deux matraques. Sa main gauche sous ma chatte pour diriger le gode et sa main droite me plaque sur la table et j’écrase mes obus dans la marre de café. Patricia se fait besogner de plus belle et il se déchaîne dans son fondement. Mais je ne m’en soucie plus, je suis toute à mon traitement de choc.
Je commence à avoir l’arrière des cuisses tétanisés, alors je me risque à monter mon genou puis ma cuisse gauche sur la table en restant bien entendu écrasée sur cette dernière. Il prend cette initiative pour une provocation : « T’en as pas assez ma grosse ? Tu ne te fais pas assez remplir ? » Au lieu de s’alterner, les deux pistons qui me perforent avancent et reculent ensemble désormais. Au plus profond de moi je sens leurs extrémités qui râpent la paroi qui les sépare et j’ai l’impression qu’il me fend en ...