1. Myriam se révèle


    Datte: 01/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Aqw12, Source: Hds

    ... chaise. Je me déplace pour le ramasser mais le patron du bistrot qui rentre à ce moment-là me l’arrache des mains « Ah non ! Ici, on garde les culottes des vide-couilles ma poufiasse ! » Il attache à mon string une petite cordelette ornée d’une étiquette sur laquelle on peut lire la date du jour puis mon prénom et mon âge. Puis, il se dirige vers la poutre de la cheminée du fond de la pièce et y accroche mon dessous. Par curiosité, je parcours l’étendard décoré d’une dizaine de petites culottes et repère vers le milieu un string noir au nom de Patricia, 32ans et en avant dernière position, une culotte en satin blanc étiquetée : Audrey, 32 ans. C’est désormais mon string rouge marqué Myriam, 42 ans qui termine le palmarès.
    
    Un des 2 garçons qui avait disparu après m’avoir honoré, rentre en trombe dans la pièce. « C’est bon Tony, Marie-Jo vient de descendre. Je te tiens le bar. Mets-lui une danse avant qu’elle parte ! » Quand il n’y en a plus ; il y en a encore, me dis-je !
    
    Le fameux Tony se rue sur moi, me jette face contre la table, remonte ma robe sur mes épaules. Il pétrit mes zones sensibles, et il est le seul à chercher mon clitoris. Il me le pince, le frotte. Il a sorti sa queue et la frotte sur mon cul pour la faire durcir. Pour lui faciliter la tâche et le chemin, je monte un pied sur une chaise ouvrant par la même mes fesses. « Oh putain qu’elle est bonne cette négresse ! » étouffe-t-il en cherchant de son gland l’entrée de ma chatte. Il rentre enfin, ...
    ... déballe à nouveau mes seins pour les tâter avec ardeur. Il s’active, me pilonne. Une main glisse à nouveau sous ma chatte par devant et reprend l’énervement de mon bouton. Sans pouvoir rien contrôler et sans l’avoir senti venir, je suis prise d’un orgasme fulgurant. Je n’ose pas crier mais ne peut contenir tous mes gémissements. « Putain, elle jouit la salope les gars ! Regardez la moi se baiser toute seule ! » En effet, c’est ma croupe que je tends et offre de plus belle à chaque coup de rein pour que cette ultime bite de la journée me fasse grimper aux rideaux. Lui aussi s’extirpe de justesse de mon vagin pour lâcher sa purée sur mon fessier tremblant.
    
    « Tony, magnes-toi, Marie-Jo remonte » prévient le tenancier d’occasion. Tony remballe en vitesse son matériel et va rejoindre son comptoir. J’essuie à nouveau mon cul et range une nouvelle fois mes nibards à leur place.
    
    Je me rajuste tant bien que mal. Mon chaperon m’accompagne dehors et je traverse le bar sous les regards pervers des clients plus nombreux qu’au début (qui ont dû entendre ce qui se passait à côté) et sous le regard affligé de Marie-Jo. Il est 14h et j’ai 20 minutes de route pour rejoindre le bureau. Pas le temps de repasser chez moi. J’enrage.
    
    Il m’adresse une ultime claque sur le cul et son sourire vainqueur me plaît autant qu’il me dégoûte. Quelle matinée éprouvante. Au volant de ma voiture, je fais un rapide bilan en me rendant compte que je suis cul nu pour l’après-midi après m’être faite âprement ...