Une patronne trop sévère (7)
Datte: 26/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Blueberry89, Source: Xstory
... vieille ! se dit-elle. Tu as passé la nuit à baiser et tu ne penses plus qu’à ça ? ”
Lucas s’amusa de voir le combat intérieur de la belle blonde encore nue dans le lit. Il ne dit rien et fit tomber la serviette, ce qui la fit instantanément dévier le regard ailleurs pour dissimuler son trouble. Il commença alors à se branler, lentement, sa verge grossissant petit à petit dans sa main. Alicia, les joues en feu, fut attirée par le bruit caractéristique de la peau qui coulisse le long de la hampe, aussi elle fut vite hypnotisée par le spectacle que Lucas lui offrait. Il se tenait juste assez loin pour qu’elle ne puisse le toucher sans devoir s’avancer un peu. Elle allait devoir faire le chemin elle-même si elle voulait y goûter.
La fière patronne mit un long moment avant de se voir irrésistiblement happée par ce membre si épais qu’elle désirait tant. Finalement, sans même qu’il n’ait dû lui demander, Alicia enroula ses lèvres autour de la verge gorgée de sang et aspira sa chair avec gourmandise. Lucas savoura la fellation offerte avec grand plaisir et saisit sa crinière pour investir sa bouche avec ardeur, jusqu’à ce qu’elle étouffe. Il explosa alors dans sa gorge, la noyant de son abondant liquide puis la libéra.
Frustrée, ...
... elle comprit qu’elle n’allait rien recevoir en retour cette fois et dû se résoudre à cette déception.
— Vas prendre une douche. On va être en retard au boulot et je sais que ma patronne n’aime pas ça.
Elle retint les jurons qu’elle voulait lui lancer puis se leva pour aller prendre sa douche. Alors que l’eau froide rassérenait ses muscles et nettoyait les restes de semence de ses amants, Alicia se sentit mieux. Soudain, un corps chaud vint s’écraser contre son dos et les mains de Lucas englobèrent ses seins. Bien vite elle se cambra pour se frotter à son érection, qui se faufila entre son sillon. Il la prit contre le mur de la douche, s’agitant dans son cul pendant qu’elle criait de plaisir. Pour une fois, il avait oublié la capote et le contact de sa peau était si exquis, qu’il lui fallu peu de temps pour se repandre en elle. En quelques coups de reins brutaux, il se déversa dans son étroit fourreau, pendant que la belle hurlait sa jouissance, ses jambes tremblant sous l’effet du plaisir.
— Je ne me lasserai jamais de ton cul je crois, dit-il dans son cou
— Laisses-moi quand même un peu de temps pour m’en remettre.
— On verra. Je te laisse finir, j’y vais. Oh, et tu passeras régler la note à la réception avant de partir !