1. Nymphomane, moi ? Tome III (13)


    Datte: 26/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... enjamba ma tête, je sentis ses couilles noires me caresser la figure.
    
    — Lèche-les, m’ordonna-t-il.
    
    Je m’exécutai, donnant de petits coups de langue sur chaque boule, puis je les aspirai l’une après l’autre dans ma bouche, il grogna de plaisir. Puis il mit son phallus noir dans ma bouche. Il n’était pas gros et je l’avalai de suite entièrement. Il commença des va-et-vient, en me demandant parfois de lui mordiller le gland. Au bout de cinq minutes, sa verge commença à avoir des contractions. Il l’enfila dans ma gorge jusqu’à sa toison bouclée et éjacula à grand trait dans ma bouche :
    
    — Avale Salope, avale le sperme du nain... Aaaaaaahhhhh, Aaaaahhh c’est bon. Tu aimes les nains noirs, on dirait. Lèche bien ma bite, aspire bien tout mon sperme.
    
    Il s’éloigna fouilla sur les étagères et revint avec en main un énorme et très long phallus violet.
    
    — Regarde ce que j’ai trouvé dans un casier. J’ai joui, je vais te rendre la monnaie de la pièce me dit-il en souriant, je vais te faire connaître le summum du plaisir.
    
    Il me montra l’imposant engin, il était d’un diamètre énorme et orné de protubérances et de toutes petites cornes. Je vis qu’elles étaient flexibles lorsqu’ avec un rictus pervers, il en caressa la longueur. Il enfila le godemiché sur son sexe et l’attacha fermement autour de sa taille. D’un geste brusque, il arracha le string qui était saturé de mon foutre. A genoux devant moi, il guida le phallus diabolique vers le bas de ma fente, puis lentement le ...
    ... remonta jusqu’à l’orifice vaginal qu’il pénétra légèrement. Il recommença l’opération, plusieurs fois, chaque fois que le gland de l’engin arrivait à l’entrée de mon méat, je donnai un coup de reins en avant pour essayer de le faire pénétrer plus avant, mais il le retirait en souriant. Je gémis plusieurs fois de frustration. Puis il me pénétra doucement, je criai de délice et de souffrance, la grosseur de l’engin et les cornes me griffèrent les parois vaginales. L’extase et la douleur se mélangèrent délicieusement.
    
    J’étais une victime offerte aux ravages de cette protubérance monstrueuse. Je repensai aux futurs spectateurs et écartai les cuisses en poussant des cris de satisfaction.
    
    — Ah, tu aimes ? Tu es vraiment une salope !
    
    Il enfonça d’un violent coup de reins l’objet au fond de mon vagin. Je hurlai en me cambrant, cela me fit délicieusement mal. Chaque allée et venue ouvraient davantage le tréfonds de mes entrailles. Lorsqu’il avait tout enfilé, ses poils crépus et rêches étaient autant de caresses sur mon bas-ventre.
    
    — Aaaaahhh, oui, oui, encore, encore, n’arrête pas, hurlai-je.
    
    J’avais honte que ce nabot puisse m’exciter autant, je me demandai ce que Maxime pouvait penser de moi. Mais je tombai dans la luxure, je ne fus plus qu’un sexe qu’il fallait remplir. Les va-et-vient du monstrueux phallus s’accélérèrent, mes râles se mêlèrent aux halètements du nain. Chaque allée et venue lui ouvrit davantage le tréfonds de ma chatte ruisselante. Il me sembla que mon ...
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