1. Nymphomane, moi ? Tome III (13)


    Datte: 26/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... habits étaient noirs, ma couleur fétiche.
    
    Ils me firent descendre au sous-sol dans une pièce violemment éclairée.
    
    — Nous allons vous mettre dans la situation exigée par le scénario. Je vais vous attacher, une personne va entrer, pour vous surveiller. Elle a le droit de s’amuser sexuellement avec vous et nous filmons vos ébats en camera cachée. Êtes-vous d’accord ?
    
    — Oui, dis-je avec un petit pincement au creux du ventre.
    
    David lia mes poignets à deux cordelettes qui pendaient d’une poutre et passaient chacune dans une poulie. Le metteur en scène m’expliqua.
    
    — Les caméras sont ici, là et là, ah oui ! Encore une ici, elles sont bien cachées, nous commandons leurs zooms. Cela nous permet de filmer en gros plan pour ne rien rater, doigter, pénétrations, fellations. Les micros captent le moindre soupir, m’indiqua-t-il. Nous allons faire entrer votre partenaire. Nous l’avons accueilli ici par une entrée secondaire et nous lui avons fait croire que nous avions kidnappée une jolie fille très riche pour avoir une rançon. Qu’il devait la surveiller, il pouvait s’amuser un peu sexuellement, avec elle, car elle est très jolie et il faut bien passer le temps et que le bon temps qu’il aurait passé avec elle, serait son salaire, il a une interdiction formelle de vous maltraiter. Il était très excité à cette idée. Ne vous inquiétez pas, David est là pour intervenir à tout moment. Avec votre ami, nous sommes à côté, je supervise le tournage sur un écran vidéo. Et nous sommes ...
    ... d’accord, pas de capote et éjaculation interne, si le sperme est déchargé dans la bouche, on déglutit et o l’avale.
    
    — Euh oui, dis-je avec un peu de réticence, ne sachant pas ce qu’il allait m’arriver.
    
    Les habits de satin noir qu’il m’avait fourni, moulaient mon corps comme une seconde peau. A genoux, cambrée, mes bras tirés vers le haut faisaient ressortir mes seins, à peine contenus par les bonnets de dentelle, leur transparence laissait deviner mes aréoles et mes mamelons. Un bout de ventre semblait offert entre le chemisier et la jupe qui découvrait sur mes cuisses la bande de dentelle des bas et les attaches du porte-jarretelles, j’étais prête pour la suite. Ils me laissèrent seule.
    
    Je n’eus pas le temps de regretter la situation que je venais d’accepter, la porte s’ouvrit, d’un coup et tel un pantin surgissant de sa boîte, un nain entra. Noir comme de l’ébène, un mètre trente environ, des mains crochues. Ses traits étaient légèrement trisomiques. Il avait les jambes tordues.
    
    — Alors tu es réveillée ? Ah, ah !! Je suis ton gardien, mais pas un ange... gardien !! Et je reste avec toi jusqu’à ce qu’on paye ta rançon, j’espère que ce sera le plus tard possible. Tu es superbe et on m’a donné la permission de faire joujou avec toi, pour passer le temps.
    
    Dit-il, en me jetant des regards lubriques. Je me mis à remuer dans mes liens. En dandinant, il s’approcha de moi. Il se mit sur la pointe des pieds et d’une main me caressa les seins à travers le mince tissu du ...
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