1. Nymphomane, moi ? Tome III (13)


    Datte: 26/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... production. On me lia les poignets et il furent attachés à un pilier. La corde était assez lâche pour que je puisse le saisir à deux mains et en faire le tour facilement. Ce poteau se trouvait à cinq ou six mètres d ’un cercle rempli de sable qui faisait environ dix mètres de diamètre. Le tournage nécessitait une lumière crue. On m’indiqua l’emplacement des cameras, il y en avait beaucoup, au plafond, sur les côtés, au ras du sol. Je me dis que le premier film avait eu beaucoup de succès le producteur m’avait montré le nombre de vidéos vendues ! Et cela ne me laissa pas indifférente. Cette pensée m’excita légèrement. Le sentiment que je devenais une vrai salope, traversa mon esprit.
    
    La porte s’ouvrit, précédés par un petit asiatique, deux géants firent leur entrée, des lutteurs de Sumo. En effet c’était diamétralement opposé au niveau taille du nain noir de la vidéo précédente ! Le plus grand devait mesurer plus de deux mètres et avoisiner les 200 kg. Ses biceps étaient aussi gros que mes cuisses. La graisse des deux combattants ne pendait pas mollement. Ils étaient musclés. Ils arboraient un chignon sur la tête. Le second était nettement plus petit. Le petit arbitre les conduisit devant moi. Je sentis, tandis qu’ils s’inclinaient pour me saluer, les yeux du plus gros, m’étudier attentivement, cela accru mon émoi naissant.
    
    Ils étaient vêtus d’une bande de tissu serrée autour de la taille et de l’entrejambe qui laissait leurs fesses découvertes. Ils se mirent face à face ...
    ... dans le cercle, et après un rituel rapide, l’arbitre donna le départ du combat. Celui-ci fut violent mais bref, après quelque affrontements brutaux, le plus petit fut projeté hors du cercle. Ce devait être un figurant payé par la production, car ce n’était pas le combat qui était important, c’était ce qui allait suivre !
    
    L’arbitre s’inclina devant le vainqueur et ordonna au vaincu de sortir. Puis sûrement en japonais et en me désignant du doigt, il parla au géant dans un dialecte étranger.
    
    Ils se dirigèrent vers moi, l’arbitre indiqua qu’il devait rester pour voir si tout se passait bien.
    
    La montagne de chair graisseuse s’approcha de sa récompense faisant retentir les murs et le sol d’un pas pesant. Il passa derrière moi, attrapa mon chemisier et de le déchira dans le dos, puis sans effort il fit subir aux manches le même sort, lorsque les lambeaux tombèrent sur le sol, cela me donna la chair de poule. Dans mon dos il attrapa à deux mains l’attache de mon soutien gorge qui céda, je frissonnai et cette brutalité accentua ma chair de poule. Il se positionna devant moi, ses yeux se posèrent sur mon corps, il en contempla d’un air connaisseur chaque détails avec attention. Il admira mes tétons durcis qui pointèrent fièrement hors des bonnets. Il fit descendre les bretelles sur mes poignets libérant mes seins de leur écrin de dentelles, les déchira elles aussi. Me faisant tourner, il glissa ses mains sous ma jupe et lentement découvrit mes fesses. En mauvais français, il ...
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