Une formation réussie (2)
Datte: 25/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: K-ro, Source: Xstory
Lundi 14 septembre 2009
Ce matin en m’éveillant j’entends les bruits discrets de Christophe qui s’en va car il commence plus tôt que nous. Guidée par des bruits d’eau, je trouve Stéphanie à la salle de bains. Elle est en train d’entrer sous la douche et ne proteste pas quand je lui propose de la prendre avec elle pour gagner du temps. Je reste assez sage en la savonnant dans le dos sans trop insister sur ses fesses. Elle me rend la pareille, puis nous nous faisons face.Là je n’hésite pas à lui frotter légèrement les tétons de mes mains mousseuses de savon. Je n’insiste toutefois pas trop car de son côté elle s’abstient de toucher mes seins. Je note toutefois que même après le rinçage et le séchage, elle a toujours les bouts qui pointent.
Chacune rejoint ensuite sa chambre pour procéder à l’habillage. Je décide de faire comme à mon habitude : pas de sous-vêtement en bas et un soutif sans bonnets en haut. Par-dessus ça, juste une jupe assez courte et un chemisier coloré et pas trop transparent. des escarpins bas et ouverts complètent ma tenue.
Je retrouve ma collègue à la cuisine où nous prenons le petit-déjeuner avant d’y aller. Elle a opté pour un ensemble pratiquement identique au mien avec une robe légère et pas trop échancrée.
La journée se passe très bien. Le contenu de la formation est intéressant, bien porté par les intervenants et c’est aussi l’occasion de retrouver des collègues d’un peu toute la France et de faire la connaissance de certains que nous ...
... n’avions jamais vus.
En rentrant à la maison, nous n’avons qu’une hâte, c’est de profiter un peu du soleil et de la piscine. Nous nous mettons toutes deux à poil directement sur la terrasse. Stéphanie est surprise en découvrant les particularités cachées de ma tenue :
— Oh, dis donc Anna, t’avais pas mis de culotte ?
— Ben non, j’en mets pratiquement jamais, ou parfois des strings.
— Et ton soutif, il est un peu spécial, non ?
— Ben oui, ça me permet d’être à l’aise tout en faisant croire aux gens autour que j’en porte un grâce aux bretelles et à l’armature qui se devinent à travers le chemisier.
Bon, elle n’insiste pas et nous plongeons et restons un petit moment dans l’eau avant de sortir pour nous sécher et nous offrir aux rayons du soleil. Une fois installées sur le dos et après s’être chacune badigeonnée d’huile solaire, je laisse un temps de calme avant d’attaquer la conversation :
— Dis donc, je vous ai entendus la nuit dernière. Ça a l’air d’aller fort entre vous.
— Ben en fait, pas tant que ça sur ce plan-là.
— Ah bon, pourtant vous aviez l’air de bien vous éclater.
— Oui, mais ça faisait un bon moment qu’il se passait rien. Mais hier soir…
— Oui ?
— Hier soir, on t’a entendue. C’était bien un vibro que tu utilisais ?
— C’est ça, pour pas perdre le rythme quand j’ai pas mon mari sous la main.
— Eh bien ça, plus peut-être le fait de te voir à poil toute la soirée, ça l’a bien excité.
— Tant mieux si ça vous a aidés. Et toi, ça ...