1. Quand tu vas à Rio


    Datte: 17/08/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, grossexe, groscul, fête, odeurs, Transexuels hsodo, init, Auteur: DD, Source: Revebebe

    ... déployer. Il était chaud. Mignon, même. Je passai mes doigts autour. Caressant son petit pubis par la même occasion. Nanda gémissait quelque peu.
    
    Je me sentais étrangement détendu et prêt à découvrir quelque chose de nouveau. Était-ce le climat tropical ? Mais à ce moment-là, la fameuse Ilda vint briser la magie de l’instant. Elle se plaça derrière moi et me mit une solide main au cul. Puis elle éructa des mots comme :
    
    — Olé ! Viens me sucer, bébé !
    — C’est bon, Ilda, laisse-nous tranquilles ! lui dit Nanda.
    
    Ilda était la plus masculine du groupe. Sa voix était d’ailleurs un peu rauque. Son corps était musclé et ses fesses exagérément bombées. Son côté exubérant m’attirait vraiment moins. Elle continua son numéro de provocation et monta sur la table basse en face de moi. Là, elle abaissa son maillot et, les mains sur les hanches, me toisa du regard.
    
    Sous mes yeux se dressait un sexe imposant. Large et puissant. Malgré la faible lueur de la pièce, on pouvait voir ressortir les veines gonflées de ce membre énorme. Ilda commença à mimer des gestes obscènes. Soupesant de ses mains sa poitrine opulente, elle commença à donner des coups de reins dans le vide. On voyait sa bite immense aller et venir, telle une balançoire phallique.
    
    Protectrice, Nanda vint à mon secours. S’interposa entre Ilda et moi. Ce spectacle fellinien m’avait quelque peu refroidi. J’avais maintenant l’impression de nager en plein cauchemar. D’ailleurs, une autre créature s’était levée et était ...
    ... venue rejoindre Ilda. Les deux trans se branlaient en duo au son de la musique. Le spectacle était irréel. Des yeux, je cherchai la sortie. Je commençais à suffoquer et à trouver l’ambiance pesante.
    
    En franchissant le seuil de la porte, Nanda vint me rejoindre. Elle semblait désolée.
    
    — Tu m’en veux ?
    — C’est rien. Mais je crois que je vais partir, ça vaut mieux !
    — Attends !
    
    Elle commença à se serrer contre moi. Baissa la tête, puis elle me dit :
    
    — Tu sais, je suis pas comme Ilda. J’apprécie autre chose… et tu me plais beaucoup !
    
    Un long silence passa. Elle était toujours près de moi. Je pouvais respirer son odeur et apprécier la douceur veloutée de sa voix. Sur le ton de la confidence, je lui avouai :
    
    — Tu sais, j’ai jamais essayé… Enfin, c’est nouveau…
    — Je sais ; et alors ? C’est si terrifiant que ça ? dit-elle, amusée.
    — Non, mais…
    — Tu sais, je peux te faire découvrir beaucoup de plaisirs…
    
    Elle venait de marquer des points. Lentement, elle me prit par la main pour monter au premier étage. Sur le chemin, nous croisâmes d’ailleurs Alina. Je ne fus pas gêné. Amusée, celle-ci me souhaita d’ailleurs de passer un bon moment.
    
    Quand la porte de la chambre se referma. Nanda alluma une petite bougie. Elle s’approcha de moi pour caresser mon torse. C’était doux, et ses gestes étaient lents et délicats. L’opposé d’Ilda. Sa peau était sucrée. Avec elle, je me sentais bien.
    
    Elle m’embrassa langoureusement avant de me déshabiller. Me laissant faire, je ...