1. Le goût de la honte (2)


    Datte: 24/05/2022, Catégories: Gay Auteur: Le Québécois sensuel, Source: Xstory

    ... oui maître je vous en prie, continuez à me défoncer!!
    
    — T’aimes ça hein taffiole?
    
    — Oh oui j’adore! Venez en moi!
    
    Gabriel commençait à pousser des gémissements graves et assumés. Je sentais les veines de sa queue se gonfler, il allait de plus en plus vite, quand bien même que ma bouche était remplie du pénis de Zoé, je poussais des sons de plaisirs incommensurables. C’est alors que je sentis le liquide de Gabriel remplir mon cul. Il s’est vidé pendant dix bonnes secondes avant de retirer sa queue. Mon cul débordait de sa semence, je la sentais qui essayait de trouver une paroi à transpercer pour féconder.
    
    Alors que je pensais qu’il avait terminé, il se plaça en face de mon visage en poussant Zoé à terre avant de mettre son sexe dans ma bouche. Il m’a baisé la bouche pendant une minute avant de jouir à nouveau, me forçant à tout avaler. Ça m’a pris 5 bonnes gorgées pour en venir à bout. Le goût de son sperme chaud était délicieux, j’en aurais redemandé. Je le sentais couler lentement vers mon estomac. Lorsqu’il retira sa queue, je m’effondrai sur le sol, épuisé, vidé de toutes mes forces. Mon cul se vidait encore de sa semence qui coulait aussi à l’intérieur de mon corps, pendant que mon visage était recouvert de mon propre sperme. Il jeta Zoé, qui était plus qu’épuisée aussi, sur moi. Sa bouche dégoulinant encore de mon liquide reproducteur. Nous étions incapables de bouger, nos instincts de survie nous ordonnant de ne pas faire de mouvements pour reprendre nos forces. Gabriel nous avait drainé, mais lui, il semblait encore en pleine forme, sans la moindre goutte de sueur.
    
    C’est pendant ce moment que nous étions impuissants, faibles, soumis et honteux qu’il prit une photo de nous. Je n’eus même pas la force de réagir, ça m’a tout pris pour comprendre ses paroles :
    
    — Je suis sûr que vos amis facebook adoreront cette photo.
    
    C’est à ce moment que je compris qu’il n’y avait pas de retour en arrière. Il nous possédait. Nous étions devenus ses jouets.
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