Julie s'offre à moi (1)
Datte: 22/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: MonCanard, Source: Xstory
Je suis professeur de piano et j’aborde la cinquantaine. Marié depuis 32 ans avec Catherine, nous avons deux beaux enfants de 30 et 28 ans. Je n’avais jamais trompé ma femme jusqu’à ce qu’une occasion totalement indépendante de ma volonté se présente.
J’avais eu depuis le début de mon professorat de nombreuses élèves de toutes les catégories d’âges. Mais une seule avait eu le pouvoir de me mettre dans un état second. Cette jeune femme de 19 ans, prénommée Julie, était mon élève depuis plusieurs années. J’avais été le témoin de sa métamorphose, de petite fille, elle était peu à peu devenue une belle adolescente et maintenant, c’était une adorable jeune femme.
La veille de sa venue pour son cours, je ne pouvais m’empêcher de penser à elle. Pas très grande, à peine 1 mètre 60, de grands yeux bleus, des cheveux auburn tombant sur la nuque, une poitrine bien gonflée. Je ne parle pas de ses fesses, avec une cambrure parfaite et des cuisses musclées, car c’était une sportive accomplie.
Notre complicité musicale s’était renforcée au cours des années, elle devenait une pianiste de bon niveau et nous prenions plaisir à jouer des pièces à 4 mains. Parfois, nos doigts se frôlaient pendant l’interprétation des morceaux et une violente érection survenait à ce moment, que j’avais du mal à cacher. Son plaisir était évident quand nous jouions ensemble, son sourire me faisait perdre toute ma contenance, je me surpris à rougir en la regardant. Jamais je n’avais ressenti une telle ...
... attirance pour une femme. Mais je devais respecter mes élèves et je n’aurais jamais tenté quoi que ce soit envers elle.
J’adorais la période entre le début du printemps et l’été, car les corps se dénudent. Elle venait souvent vêtue d’une petite jupette, parfois avec un léger corsage qui laissait deviner son opulente poitrine. Mon regard était de temps en temps attiré par un bouton récalcitrant qui fermait mal et qui me permettait d’entrevoir une petite partie de ses beaux seins blancs qui pointaient. Je ne vous explique pas dans quel état je me trouvais à ce moment-là. Pourtant, elle ne faisait rien pour m’attirer, elle était très polie et nullement provocatrice. Elle devait simplement prendre conscience que son corps pouvait avoir des pouvoirs jusque-là insoupçonnés.
Nous arrivions à la fin de l’année scolaire et je trouvais que depuis quelques semaines, elle semblait un peu songeuse, moins volubile. Sans doute l’approche des examens la perturbait-elle un peu. Le dernier mercredi du mois de juin, elle arriva pour son cours. En lui ouvrant la porte, je me rendis vite compte qu’elle avait certainement pleuré. J’en fus bouleversé, mais je fis semblant de n’avoir rien vu. Je n’avais pas à me mêler de sa vie privée.
Nous prîmes place devant le piano, elle commença comme d’habitude avec quelques exercices d’échauffement, puis nous avons joué une sonate de Mozart. Je perçus rapidement que son jeu n’était pas précis comme à son habitude, elle fit quelques fausses notes. D’un ...