1. L'inconnue de la piscine (1)


    Datte: 21/05/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Sexvista, Source: Xstory

    ... quasiment habillé, prêt à partir, elle est encore en maillot, claquant des dents.
    
    J’entre dans le vestiaire et manipule le loquet, qui après quelques essais, s’enclenche enfin.
    
    — Merci, mais vous devriez sortir maintenant, car je dois me changer, me dit-elle en souriant d’un air presque coquin.
    
    Je rétorque, prenant vraiment mon courage à deux mains, tout rougissant et d’une voix mal assurée.
    
    — Est-ce que je peux vous voir nue ?
    
    A ma grande stupéfaction, elle me murmure à l’oreille :
    
    — Oui mais à condition que tu me montres ta queue.
    
    Je vérifie que les lieux sont bien clos. Elle est au milieu du vestiaire et ouvre son maillot une pièce en remontant très lentement, pour me faire languir, la fermeture éclair de côté.
    
    Je découvre progressivement son sexe, il est très poilu, joliment taillé en triangle sur le pubis, sa vulve paraît complètement épilée. Ses poils pubiens sont roux. C’est une vraie rousse.
    
    Elle enlève le haut, de petits seins avec des tétons qui pointent sur de larges aréoles foncées.
    
    Je sens mon sexe réagir à la vue de cette dame certes déjà âgée, mais vraiment très désirable.
    
    Entièrement nue, offerte, jambes légèrement écartées, elle se tourne pour me montrer ses fesses en se baissant pour me faire admirer son intimité. Je distingue nettement son anus et sa vulve.
    
    — A ton tour maintenant.
    
    Je me défais rapidement jusqu’au slip, que je baisse lentement pour lui faire découvrir ma verge déjà un peu gonflée.
    
    — Mais tu ...
    ... commences à bander, je te fais vraiment de l’effet ! s’exclame-t-elle
    
    — Oui et j’ai très envie de vous.
    
    Tu as une jolie verge circoncise, me dit-elle en mouillant son index de salive pour me titiller le frein, et me tâter les bourses.
    
    Je bande.
    
    Elle pose un baiser et passe le bout de sa langue sur le méat d’où suinte du liquide préséminal, je m’attends à une fellation, mais elle se relève, je l’embrasse alors sur la bouche, nos langues s’entremêlent un long moment.
    
    — Viens me lécher, me dit-elle en se positionnant assise sur un banc de bois, cuisses écartées en se tenant jambes relevées, vulve béante.
    
    Je me mets à genoux et passe ma langue sur ses jambes, lui baise l’intérieur de ses cuisses, sa vulve déjà est déjà luisante de mouille.
    
    Je lèche les poils roux du pubis, les grandes lèvres et remonte vers le clitoris bien bandé.
    
    Je tente une aspiration. Sa réaction est fulgurante. Elle gémit de plus en plus fort et mouille abondamment. Je vais la traiter ainsi pendant dix bonnes minutes puis lui relève encore le bassin, pour lui lécher le sillon fessier, lorsque ma langue passe sur l’anus, elle a un soubresaut, ne s’attendant peut-être pas à cette caresse, mais elle jouit presque instantanément en hurlant, m’obligeant à étouffer son cri pour ne pas alerter les autres baigneurs. Un dernier coup de ma langue sur sa vulve provoque un petit jet de cyprine que je reçois en pleine bouche.
    
    — Personne ne m’a jamais sucée comme ça. Viens, je vais te remercier.
    
    Elle ...