La mère de ma petite amie.. (3)
Datte: 19/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... je l’ai déjà mentionné, elles pourraient presque être jumelles pour le reste du corps. Elle se tourne et se retourne, me laissant tout le temps de l’admirer, son buisson est un peu plus fourni et elle a laissé un rectangle un peu plus large que Sarah qui me semble même un peu taillé en pointe pour attirer l’attention sur son intimité.
Elle s’allonge sur le ventre non sans avoir pris, l’espace de quelques secondes une position à quatre pattes qui m’a montré qu’en dehors de ce large trait, elle est parfaitement épilée ; partout.
En tout cas, j’avais parfaitement raison en pensant qu’elle a l’habitude de bronzer nue, car aucune trace blanche de maillot ne vient comme chez Sarah dépareiller la couleur dorée de sa peau.
Pendant qu’elle farfouille dans son petit sac à la recherche d’un sac ou de crème, j’enlève (très) rapidement mon maillot. Quand elle se retourne vers moi, soulevant d’abord ses splendides fesses comme un chat qui s’étire et tourne son visage, seul un infime frémissement parcourt ses épaules, me laissant admiratif moi aussi devant son sang-froid.
Comme je suis resté debout, elle peut parfaitement m’examiner derrière ses lunettes fumées et ne s’en prive pas. Moi aussi je n’ai pas de trace de bronzage ni côté pile, ni côté face comme je le lui laisse voir en me tournant pour déplacer un peu un transat qui n’en a nul besoin.
Elle reprend la main en me demandant de lui étaler de la crème solaire sur le dos.
— Bien sûr aucun problème.
Je viens ...
... m’asseoir tout près d’elle, mon bassin juste à hauteur de la tête qu’elle a tournée vers moi, stratégiquement placée pour voir mon sexe à moitié tendu.
Nous agissons de façon parfaitement naturelle comme si nous étions vêtus, de façon anodine quoi.
Je fais couler la crème sur son dos en une ligne allant du haut de ses jolies fesses à sa nuque.
Ensuite, très, mais alors très lentement j’étale la crème sur sa nuque, sur ses épaules, la ligne de sa colonne vertébrale pendant que nous parlons du temps et de la chance que nous avons d’avoir un radieux soleil.
Le creux de ses reins accueille mes doux attouchements, et quelques vagues de frémissement parcourent son corps, signe d’une certaine lascivité, tout comme Le signe que je présente, le sexe érigé aux trois quarts, totalement impudique à trente centimètres de son visage,
— Mettez bien de la crème, je ne voudrais pas d’un coup de soleil.
— Ce serait dommage en effet, et donc cette dernière expo de peinture ?
Tout aussi délicatement, j’enduis de crème ses fesses, l’arrière de ses cuisses et ses mollets, le tout s’étant quasiment transformé en massage sensuel. Entre une réflexion sur la concurrence des ventes d’art sur le Net et une remarque sur Banksy, elle lâche un soupir ou plutôt un ronronnement, écartant impudiquement ses cuisses en me dévoilant son intimité avec une vision parfaite sur la rosée qui suinte de sa petite chatte rose aux lèvres gonflées.
Mon sexe aussi est gonflé qui se dresse comme un mât ...