Deux colliers et deux fines laisses comme cadeau d'anniversaire (2)
Datte: 19/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Sarah Hardy, Source: Xstory
... un autre récit...
Elle te relève pour te serrer contre elle à nouveau. Elle retrouve le goût de son sexe sur tes lèvres. Elle glisse les doigts sous le tissu pour toucher cette petite masse de chair qui te fera te presser contre sa main. «Ah... tu es tellement mouillée... » Son ton est tellement étonné que tu ne sais pas si tu dois en être gênée ou en être fière ! Oui, tu es trempée de désir... En croisant ses yeux allumés, tu vois que ça l’excite aussi. Ton désir. Vous vous caressez le sexe, debout l’une contre l’autre, soupirant, criant, gémissant bouche contre bouche. Vous êtes sur le point de chavirer, déjà...
C’est le moment qu’il a choisi pour vous rejoindre. Il mêle sa langue aux vôtres, puis plonge les doigts dans vos bouches. Avec application, vous léchez et sucez ses doigts. Toujours pressé contre vous, il vous entoure de ses bras et parcourt vos dos nus. Puis, prenant des aises de propriétaires, il glisse ses doigts sur vos fesses, en miroir, et se met à les caresser. Tu anticipes la suite, alors qu’il glisse son doigt dans ton petit anus contracté. Tu le sens se dilater malgré toi. Soumis à ses caresses, tu vois le visage troublé de ta compagne et tu sais qu’elle est aussi prise et possédée de la même façon. Chacune de nous sait que l’autre est ainsi prise et le savoir démultiplie le trouble que tu ressens. Vous vous caressez toujours l’une contre l’autre, contre lui, vos langues emmêlées. Vous vous ouvrez sous ses doigts, rêvant de plus, sans oser.
Et ...
... pourtant, c’est ce dont il a envie. Tu le sais. Quand, par pur délice, tu as décidé de pimenter un peu les choses, tu as bien compris que tu devais assumer ton plaisir. Sinon, quel est l’intérêt d’avoir deux femmes lubriques à sa disposition ?
Tu avais commencé les festivités dès ce matin, te faisant la main baladeuse. Tu as caressé ses fesses à quelques reprises. Te promenant pratiquement nue dans l’appartement, tu avais plongé ta langue dans sa bouche en le regardant dans les yeux. Tu sais qu’il voyait à ton regard un peu perdu et humide que tu n’étais plus tout là. Dans ta tête, imaginant les scènes les plus lubriques qui pourraient exister ce soir...
Tu savais bien comment le lancer sur la pente du vice... tu y trébuchais si facilement ! Et début de soirée, tu l’as entraîné sous la douche, rasoir en main. Il t’a dénudée complètement, te manipulant avec une feinte indifférence. Quand il t’a poussé la nuque en disant de t’écarter les fesses, tu as obéi avec docilité. Il a glissé le rasoir, chaque mouvement provoquant un soupir, un gémissement incontrôlable de ta part. Tu sentais le liquide clair glisser de ta fente devenue lisse. Il a eu un peu de pitié pour toi, il a glissé sa langue entre tes cuisses alors que tu te frottais contre sa bouche en pressant son visage contre toi, sans plus aucun contrôle.
Tu espérais l’orgasme, il le sentait, mais il t’a abandonnée sous la douche en te disant d’un air sévère : «Tu ne te touches pas !».
Tu attends donc encore et ...