Une Histoire d'été inhabituelle... (1) - Histoires de Sexe

Une Histoire d'été inhabituelle... (1)

... recommença...

Le vieux se mis alors derrière moi et écarta doucement mes cuisses, il faut dire que je l’avais un peu aidé.

Une main sur chaque fesse, il a commencé à les écarter lentement, puis, c’est sa langue qui vint nettoyer mon petit trou. Waouh !!

Putaiiiiin, mais qu’est-ce que c’était bon.

-T’aimes quand j’te lèche ton petit cul ? Je me contentais de gémir.

-T’inquiète pas je vais te faire du bien, tu vas aimer, me dit-il en parlant lentement et calmement.

Il me bouffait le cul, sans lâcher mes fesses, qu’il tenait toujours bien écartées. On ne me les avait encore, jamais ouvertes de cette manière ; et cette sensation d’avoir mon cul complètement ouvert et offert à cet homme que je ne connaissais que depuis une quinzaine de minutes, c’était inouï.

J’avais l’impression d’être sa chose, d’être sa pute et ça m’excitait vraiment beaucoup.

C’était vraiment étrange comme sensation, de sentir que c’était un homme qui était derrière moi, qui me bouffait et il fallait voir comment il s’appliquait.

Je sentais que ma bite commençait à se redresser, il faut dire que ce vieux salaud faisait tout pour.

Après une bonne dizaine de minutes, il s’approcha de moi à genoux et me tendit sa belle queue.

Elle n’était plus qu’à quelques centimètres de mon visage, alors il m’a suffit d’ouvrir grand ma bouche, langue en avant et j’ai commencé à le sucer.

Dès que j’ai enveloppé sa bite au fond de ma bouche, elle s’est immédiatement redressée et lui, de ...

... pousser un petit soupir.

Il était à genoux sur le lit et moi à 4 pattes et je le suçais, comme si j’étais un petit chien.

Je l’ai bien pompé pendant au moins cinq minutes et je trouvais ça très excitant. Ça devait lui convenir parce qu’il bandait comme un fou.

J’ignorais qu’un vieux de soixante dix ou soixante quinze ans même, pouvait encore bander et encore moins de cette façon.

-Vas-y suce... suce la bien, tu fais ça très bien on voit que t’as l’habitude.

Je n’osais pas entendre ce qu’il disait, car au contraire, je n’avais pas vraiment, d’expérience en la matière.

J’aimais cette queue, je la trouvais agréable et je la léchais avec délectation.

C’était vraiment jouissif de sentir qu’on peut simplement avec une bouche, provoquer autant de plaisir, une si grande excitation et emmener un homme, même âgé, à la jouissance.

Je le suçais, j’avalais son gland lentement et je l’entendais gémir de plus en plus fort.

J’aimais tourner autour de ce beau gland rouge et gorgé de sang avec ma langue, car je voyais bien qu’il était au bord de son plaisir, à la limite même et que c’est moi qui maîtrisais tout cela.

Il n’arrêtait pas de faire des allers-retours dans ma bouche grande ouverte, il la baisait littéralement et ça me plaisait.

Son esprit était entièrement accaparé par le plaisir que je lui donnais et je suis persuadé, qu’en entrant dans ma chambre, il ne s’attendait pas à se faire pomper comme ça.

Après un long moment, j’ai laissé délicatement traîner ...