1. Poulet caramel (1)


    Datte: 18/05/2022, Catégories: Hétéro Auteur: sameplayer, Source: Xstory

    ... découvrant mes seins arrogants et tout ronds, sa main glisse sous la dentelle et me caresse, je mouille sous cette caresse. Il enlève mon shorty qui tombe sur mes chevilles. Je le jette au loin d’un mouvement de la jambe, me rapproche du balcon, la fenêtre est ouverte et donne sur la promenade au bord de la mer. Je regarde la mer les mains sur le balcon, pas de voisins...
    
    Je l’attrape par la hanche et l’invite à se coller contre moi, sa grosse queue épaisse pousse entre mes cuisses et viens se frotter à ma chatte humide, il glisse avec de jolis mouvements de va-et-vient, là je craque je veux qu’il me baise là tout de suite, je rêve d’une belle queue métisse, je l’ai, j’en profite. Je la saisis et la guide à l’entrée, je me penche vers le balcon, il me saisit par les hanches et d’une belle poussée il me baise. Des mouvements amples et torrides. Le moment est animal, je serre les dents non pas pour ne pas jouir, mais surtout ne pas m’exprimer ! Oui juste en dessous tout le monde se promène sans penser que quelques étages au-dessus, ...
    ... c’est orgasmique.
    
    Il a gardé sa tenue, juste le pantalon ouvert, et l’image de sa grosse queue à ma disposition, cela m’excite terriblement. Je préfère les CRS dans cette position qu’au bord de la route. Je vais jouir comme une folle emmanchée profondément sur sa belle bite, mon corps est chancelant, je n’arrive plus à tenir le balcon. Je jouis, lui aussi, dans un petit grognement retenu...
    
    Nous finirons par une douche et des mains partout. Nous n’avons plus beaucoup de temps, il me propose de me reconduire à ma résidence, j’accepte volontiers il est minuit trente mon mari rentre vers 1h00 du matin. Il me dépose, un dernier baiser et je lui lance« J’adore mes vacances à Cabourg ». Je vais dormir comme un bébé, épuisée par le plaisir, et le lendemain matin mon mari arrive avec du pain frais et un café en me disant« Ma puce il est déjà 9h00 et tu dors encore ».
    
    Je lui adresse un joli sourire en guise de réponse, en repensant à ma nuit, et qu’hier soir j’ai fait mentir l’adage qui dit que l’ennui naquit un jour de l’uniforme ôté... 
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