Lise, de l'ennui au désir (5) - Histoires de Sexe

Lise, de l'ennui au désir (5)

... mon sperme se déverser ainsi sur les vêtements de ma partenaire.

Provocatrice, Lise avale le sperme restant dans sa bouche puis vient prélever un peu de ma semence sur la jupe pour la remettre dans sa bouche. Après ce petit manège, elle s’essuie la main au niveau de la poitrine, laissant visibles de grandes marques claires sur le noir de son body. Elle se relève, nos visages sont face à face et tout naturellement elle me sort :

— Je pense que le cinéma sera pour une prochaine fois.

Puis tout en souriant, elle ajoute.

— Mais avant de te laisser, j’ai un petit cadeau pour toi.

Je la vois alors fouiller dans son sac pour en ressortir le string blanc que j’avais souillé la dernière fois au restaurant. Elle me le met sous le nez puis le lance en direction de la place conductrice.

— Si je te manque trop, tu pourras te masturber avec.

Dans un dernier geste provocateur, elle retire rapidement sa jupe couverte de sperme. Je remarque aussi les marques rouges sur ses genoux dues au frottement sur le béton. Je me dis qu’en plus de tous ses penchants sexuels, elle doit aimer le côté violent, voire douloureux, du sexe. Sa jupe enlevée, elle se retrouve là devant moi, désormais vêtue simplement de son body qui ne cache nullement ses fesses, et sa paire d’escarpins. Elle me ...

... tend sa jupe comme trophée.

— tu pourras me la rendre la prochaine fois qu’on se voit.

Puis elle m’embrasse tendrement sur la bouche. La sienne est toute poisseuse, mais j’accepte le baiser. Elle se retourne puis s’en va en direction de sa voiture, m’accordant un dernier signe de la main en guise d’au revoir.

Je n’arrive pas à détourner mon regard de Lise. Je suis comme envoûté par son corps, et ses fesses divines.

Vidé et littéralement éberlué par le culot de cette fille, ce n’est que lorsque je la vois monter dans sa voiture que je reviens à la réalité. Je prends alors conscience que j’ai toujours la queue à l’air libre, je me rhabille rapidement en espérant ne pas avoir été remarqué. L’excitation retombée, j’ai un peu honte de la situation et je regarde autour de moi en refermant la porte de ma voiture. Je ne remarque rien d’anormal. Si ce n’est qu’avant de repartir, j’aperçois le groupe des trois jeunes filles du bar s’approcher de la voiture de Lise qui ouvre la fenêtre électrique. Les 4 femmes semblent s’échanger quelques mots, puis Lise repart.

Je jette un coup d’œil au string et à la jupe que Lise a éparpillé dans ma voiture, et je démarre enfin. C’est alors satisfait et avec des souvenirs plein la tête de cette nouvelle soirée folle que je rentre chez moi...