1. Amazonie (11)


    Datte: 15/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Miss Arthur, Source: Xstory

    ... peau devient plus blanche, nous nous ressemblons.— Et puis ?— Vous pourriez travailler pour nous, ici à Constantinople. Nous fournirions des femmes à votre mari.— Comment ça travailler pour vous ? Je ne suis pas une espionne.— C’est ce que nous verrons.Le colonel me servit un nouveau verre, la tête me tournait maintenant.— Mais enfin Général, que me dites-vous là ?— Voyez vous chère dame, chère Isabella, vous êtes trop au fait des choses de la cour, de notre administration, de notre système. C’est louche.— Vous trouvez ? Je suis simplement curieuse, comme beaucoup de femmes occidentales.— Ah oui, et que diriez-vous à propos de documents étranges que nous avons découverts dans votre hôtel particulier, on dirait des messages codés ?— Vous vous méprenez, il ne s’agit que de jeux mathématiques que nous affectionnons, mon mari et moi. Vous avez fouillé notre maison ?Après le verre suivant, il m’était plus dur de trouver mes mots. le colonel se resservit à son tour, mais je pense que j’avais déjà bu le triple par rapport à lui. L’exercice commença à partir en vrille dans les questions suivantes.— Qui êtes-vous, Isabella ?— Juste… juste la femme de Felipe Diaz de Salamanque, fille de bonne famille et épouse modèle.— Que savez-vous de Jéromine de Murcie ?— C’est, c’est… c’est un homme.— Un homme ? Que dites-vous là ?— Oui c’est Frère Jérôme… Je suis… Je suis juste un peu ivre.Le colonel estima qu’à ce stade, l’exercice était terminé. Il se resservit un verre.— Colonel, dis-je étant ...
    ... complètement saoule, voulez-vous coucher avec moi ?— Euh, une autre fois, Jéromine, une autre fois.Et il me fit raccompagner par les serviteurs qui me firent me mettre au lit. Une bassine en bord de celui-ci me fut utile pour vomir ce qui restait de rhum dans mon estomac.Pas de cours ce matin-là, il valait mieux. J’émergeai en fin de matinée avec une belle gueule de bois. Je pris un repas léger, sans vin, avec le colonel qui analysa l’exercice de la veille.— Excellent, Capitaine, vraiment excellent.— Ah oui ? (je n’avais que de vagues souvenirs)— Non seulement vous tenez bien l’alcool, mais vous avez su éluder les questions difficiles.— Vraiment ?— Oui, et votre dernier coup de dire que vous étiez un homme, tout simplement sublime ! Quand on sait la femme que vous êtes, et si je peux me permettre, moi qui vous ai vu dans le plus simple appareil ! En fait ce genre d’approche de dire n’importe quoi est adapté à la situation. Comment l’idée vous est-elle venue ?— Je ne sais pas, c’est venu comme ça, mentis-je.Comme quoi une faiblesse apparente peut devenir une force, pensai-je intérieurement.— Quant à votre dernière proposition, c’était aussi bien tenté.— Euh, laquelle ? Je ne me souviens pas…— Sauf votre respect, Capitaine, vous m’avez proposé de coucher avec vous…— Ah oui, j’ai fait ça ? Je devais être bien saoule…— Comme un portugais. C’est bon pour moi, vous avez passé cet examen.— Merci, Colonel.— Tout le plaisir était pour moi.Les deux mois touchaient à leur fin, l’exercice ...
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