1. L'initiation de Sarah. Elle ne verra plus le sexe de la même façon (2)


    Datte: 12/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Agapios66, Source: Xstory

    ... ton bassin dirigés par ses mains puissantes. Ça ne vibre pas à huit vitesses différentes comme le magic wand, ça n’aspire pas ton clitoris comme le satisfyer mais la nature est bien faite. C’est justement parce que le sexe d’un homme ne vient pas appuyer directement sur le bouton orgasme de ton cerveau, que le plaisir monte et prends son temps, que plaisir est encore plus intense quand il explose finalement.
    
    Peut-être que c’est comme l’addiction au jeu et que frisson de l’action, l’imprévisibilité du résultat augmente encore le plaisir.
    
    Sous l’effet du plaisir, ton sexe tente de se contracter encore et encore autour de cette barre qui fouille tes chairs. Penché en arrière, ta tête se tourne vers Sarah qui, faute de mieux, se retrouve assise à vous regarder elle aussi, l’une de ses mains écartant les lèvres de son sexe pour que trois doigts de son autre main puissent glisser aisément sur son clitoris à un rythme qui rend sa main presque floue sous la faible lumière des torches.
    
    Le visage tendu par le plaisir et les coups de bite qui s’enchaînent encore et encore, tu tends une main vers elle. Ça t’excite de la voir se caresser en vous matant, mais tu ne veux pas que la demoiselle se sente délaissée. Sarah saisit ta main et tu en profites pour l’attirer vers toi. Tout en tentant d’absorber les coups de boutoir avec ton bassin pour ne pas être secoué de la tête aux pieds, tu passes une main dans son cou et attires sa tête vers la tienne pour pouvoir l’embrasser à ...
    ... pleine bouche. Ta tête a tendance à monter et descendre au rythme de la bite qui rentre et sort de ta fente, mais Sarah passe à son tour une main autour de ton cou pour maintenir vos lèvres en contact et prolonger le baiser, permettre à vos langues de continuer à se caresser et s’emmêler intimement. Ta main en profite pour descendre de son cou jusqu’entre ses jambes et prendre le relais.
    
    C’est toujours plus agréable de se faire branler par quelqu’un d’autre comme le démontrent ses gémissements alors que ta main trouve et commence à jouer avec son petit bouton.
    
    Les spasmes de plaisir qui remontent de ton bas-ventre s’intensifient. C’est tout ton corps qui se contracte de plaisir alors que celui-ci explose dans ton cerveau. Raz-de-marée, bigbang, cris de plaisir exprimés sans retenue alors que ton corps convulse sur la bite de H qui a arrêté ses mouvements pour rester planté au fond de toi jusqu’à la garde. C’est tellement bon, puissant. Pendant quelques secondes, le reste du monde disparaît. Le moment, le lieu, la compagnie, plus rien n’a d’importance alors que ton cerveau est noyé sous un flot d’ocytocine qui te donne l’impression d’être sur un petit nuage.
    
    Toujours shooté par les hormones de l’orgasme, ton esprit revient suffisamment sur terre pour reprendre conscience de ce qui t’entour,e même si l’éclat dans ton regard et le sourire béat sur tes lèvres ne font aucun doute sur l’état dans lequel tu te trouves. Reprenant ton souffle, tu dis à Sarah :
    
    — _ Mmmh, mmmh. ...
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