1. Le Crash Ch. 02


    Datte: 10/05/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bySalomeD, Source: Literotica

    ... avec ses fesses douces et fermes, limant de mes deux doigts cet orifice minuscule, puis mon sexe devenant trop dur, je ressors mes doigts et regarde Louise. Elle voit mon sexe dressé, énorme à coté de son corps, je sais que je pourrais la sodomiser comme ça, sans qu'elle essaye de résister. C'est presque trop facile. Je fais un bisous sur sa petite moule exposée puis je la repose sur la couverture.
    
    Je me retourne sur l'autre coté ou dorment les deux autres. Noa dort profondément mais Inès me regarde, en principe elle est tranquille le matin puisque j'utilise la bouche de la métisse. Comment les habitudes se prennent vite.
    
    Je m'approche d'elle, je lui fais écarter les cuisses. Inès me regarde surprise, mais elle se résigne. Je m'enfonce dans son corps sans difficulté, elle ne mouille pas mais j'ai l'habitude et j'adore être serré. Elle ne crie plus, elle gémit juste lorsque mes coups de reins sont trop profonds. J'y vais pourtant assez fort. Je me vide a l'intérieur de son vagin, ressortant repu, je la laisse aller se laver le cul, en pleurant, à la rivière.
    
    Après déjeuner, je regarde les trois filles, le sexe bandé et déjà avide de sensations. Noa qui d'habitude est presque amorphe se souvient de mon viol de la veille et ses yeux expriment la peur. Évidement c'est plutôt la chose qui développe ma libido, je vais prendre la métisse par la main et l'approche du tronc d'arbre, elle se met à pleurer essayant légèrement de se libérer, mais elle n'a aucune chance.
    
    Je la ...
    ... fais pencher sur le tronc, je relève sa robe, elle non plus ne mets plus de culotte. Je reste quelques secondes à regarder cette jolie vulve que j'ai dépucelé la veille. Je prend alors une espèce d'huile qu'on retire d'une grande feuille d'arbre et que j'utilise pour la cuisine, je m'en passe sur le sexe. Les deux autres filles me regardent sans comprendre, je n'ai jamais fais cela. Elles se demandent à quoi cela peut bien servir.
    
    Je m'approche derrière la jolie Noa et je fais signe aux deux autres d'approcher. Je leur montre alors le petit trou du cul de la conne, minuscule, hermétiquement fermé, encore inviolé et je les regarde. Puis je pose mon gland sur l'anus de la salope. Vicieusement je regarde Inès qui ne comprend pas trop pourquoi je me pose sur l'anus à la place du vagin, puisqu'elle a déjà subit cette pénétration vaginale.
    
    Délicieuse époque, où la plupart des femmes ne savent pas ce qu'est la sodomie. Sauf celles qui y passent bien entendu. Malgré ses vingt-cinq ans, Inès à toujours vécu dans un cocon. Les deux ou trois amantes qu'elle a eut, sont comme elle, de délicieuses ingénues, qui ne connaissent pas grand chose au sexe, et vue qu'elles sont lesbiennes, elles en connaissent encore moins.
    
    Cette petite enfant gâté ne sait pas que les hommes puissent être aussi pervers et dépravés. Louise a compris elle, elle sait que c'est avec son petit anus que je joue avec mes doigts, elle sait... Noa ne dit toujours rien, attendant son supplice. Je me relève alors ...
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