Passion assouvie (1)
Datte: 09/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: dpgt38, Source: Xstory
Nous étions, ma femme Nini 65 ans, mon ami Pat... 68 ans de trois mois, mon cadet et moi, le mari, à se prélasser au fond du jardin, juste au-devant du local technique, endroit sympa juste au bord de la piscine où nous avions installé une petite table ronde à laquelle nous avions l’habitude de prendre l’apéritif. J’ai depuis des années, toujours eu des tendances candaulisme et bisexuelles. Avec mon ami Pat... lui aussi bisexuel, nous avions à plusieurs reprises partagé cette passion. Ça se passait chez lui quand sa femme partait voir sa sœur, ou chez moi dans la piscine quand ma femme partait faire quelques courses.
Ma femme issue d’une culture judéo-chrétienne et emprisonnée dans un bouclier de moralité inébranlable connaissait depuis fort longtemps mes convictions pour mes fantasmes. Elle désapprouve et refuse catégoriquement de participer, d’où sa moralité.
Depuis quelques années, lors de nos ébats amoureux, j’avais pour habitude de lui parler de mon ami Pat..., chose qu’elle n’appréciait pas particulièrement (en apparence ?), mais, j’avais remarqué qu’elle était plus excitée quand j’approfondissais du genre, imagine te mettre sur lui avec sa grosse queue dans ton vagin et là, elle explosait d’un orgasme peu commun, mais le lendemain en y reparlant, elle niait de toute évidence.
Par la suite compte tenu de ma frustration, elle me fit quelques confidences du genre, je ne suis pas prête, laisse-moi un peu de temps, ou alors, il faudrait que j’aie vraiment ...
... beaucoup bu d’alcool pour accepter de passer à l’acte.
Nous avions l’habitude de boire notre whisky, voire deux tous les midis au bord de la piscine sur notre petite table, et là, me vient l’idée de lui demander si d’en prendre un troisième te désinhiberait pour t’aider à passer ce cap. D’où trois whiskys correspondraient (triolisme) pour sa convenance, ce serait notre code de connivence. Depuis cet accord, chaque fois que nous étions à l’apéritif, je plaisantais toujours, lui demandant si un petit troisième te conviendrait ?
Ceci dit, quand une femme dit non, c’est non, sauf si c’est oui, mais elle dit non pour ne pas dire oui pour que ce soit un oui alors qu’elle dit non, et là, ce jour-là, le 30 juillet 2019 alors que nous étions tous les trois comme je l’ai décrit au début de ce récit, je lui demande un petit troisième ? Elle a bien saisi où je voulais en venir, évidemment ce fut un non de la tête.
Mon ami Pat..., n’étant pas dans la confidence, me demande !
— Que fait-on ?
— Je lui réponds, on va se baigner !
— Oui, mais, je n’ai rien emmené, pas de maillot, pas de serviette !
— Peu importe, d’habitude, on se baigne à poil tous les deux.
Il commence à se déshabiller, ne gardant que son slip pour rejoindre la piscine, mais qu’il enleva juste avant d’entrer dans l’eau.
— L’exception qui confirme la règle d’une femme qui dit non.
Tout excité de cette situation, je prends un plateau flottant où j’y dépose deux verres pour un troisième whisky de ...