1. Dressage d'une flic arrogante (1)


    Datte: 08/05/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Blueberry89, Source: Xstory

    ... et au moment où je me laisse aller, il se recule et se met à rire.
    
    — Tu es bien naïve si tu crois que je m’intéresse à toi. Tu n’es qu’une bleue, arrogante et stupide. Ce petit jeu a assez duré.
    
    La violence de son rejet est telle que je bouillonne intérieurement. Quelle humiliation ! J’aurais dû le deviner qu’il s’amusait à me provoquer, et pourtant, je suis tombée direct dans le panneau. Mais hors de question que je me laisse faire ! Je sais qu’il ment et que je ne le laisse pas indifférent. Prise d’une pulsion soudaine, j’empaume la bosse qui s’est formée dans son pantalon et la presse de mes doigts. Son sexe, déjà bien raide, gonfle à travers le tissu. Victorieuse, je le contemple de mon plus beau regard de biche.
    
    — Alors je ne vous intéresse pas ? Ce n’est pas ce que semble prouver ce que j’ai entre les mains...
    
    Il ne répond pas mais je discerne une lueur de colère dans ses yeux. Bien, c’est moi qui ai le dessus maintenant et je vais en profiter. Je vais lui montrer que je ne suis pas cette fille naïve et faible qu’il croit. Je dégrafe sa ceinture d’un geste vif et sors le membre gonflé d’excitation pour l’enserrer dans ma paume. Stan grogne, refusant de s’avouer vaincu. Il va falloir que j’y aille bien plus fort.
    
    Je m’agenouille à ses pieds, entraînant son pantalon avec moi et avec une extrême lenteur, je lèche consciencieusement cette colonne de chair qui m’appelle. Je m’applique avec aisance, je veux le voir adorer ça. Je le fixe de mes grands yeux ...
    ... bleus pendant que je fais glisser son gland entre mes lèvres. Il crispe ses poings contre ses hanches, comme s’il voulait prendre les commandes et ferme les yeux en prenant un air grave, luttant contre son propre plaisir. De ma langue, j’intensifie la succion et alterne ce traitement avec de lentes progressions, pour finir par engloutir sa queue avec gourmandise.
    
    — Putain de merde ! lache-t-il enfin, à ma plus grande joie.
    
    Il se laisse aller, savoure les glissements de sa queue entre mes lèvres, allant même jusqu’à donner un coup de bassin de temps en temps. Il va craquer je le sens... Et moi dans tout ça ? Jamais je n’aurais cru ça possible et pourtant, je mouille tellement que j’ai peur que ça dégouline sur le sol. Son sexe a un goût divin et j’y prends un tel plaisir que j’en oublie presque mon but principal : me venger.
    
    Au moment où je le sens proche de l’orgasme, je m’arrête brusquement, recrache à regret cette délicieuse verge et me relève, comme si de rien n’était.
    
    — Qu’est-ce que tu fous ? Tu vas quand même pas...Reviens ici Meg ! s’emporte-t-il en remontant son pantalon pour me suivre.
    
    — Reprenons cette partie, voulez vous ? Je crois que nous avons tous les deux constaté que je n’ai pas froid aux yeux.
    
    Il fulmine mais lorsqu’il se rassoit à la table, je sens qu’il n’est plus aussi concentré que tout à l’heure. J’en profite pour le battre à plate couture, sur un beau coup de bluff.
    
    — Et voilà Brigadier, je crois que nous avons terminé, Lancé-je, fière ...
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