Dévorés par la luxure (1)
Datte: 08/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Illégitimes, Source: Xstory
... terrifié à l’idée qu’elle ne le trouve à l’intérieur et en parle à son compagnon et que mes deux amis partageant l’appartement ne le sachent. Mais je ne pouvais pas non plus frapper à la porte alors que l’eau coulait pour dire que j’avais oublié un truc important pour le récupérer sans qu’elle ne sache ce que c’était.
Pourtant c’était mon jour de chance. Alors que je m’étais résolu à accepter l’inévitable vérité sur le point de m’exploser au visage, j’ai entendu la porte s’ouvrir et je l’ai vu passer de la salle de bain à la chambre de mon ami, sans doute ayant oubliée de prendre quelque chose. J’ai couru à la salle de bain, tiré le rideau de douche et arraché du mur le jouet avant de me précipiter dans ma chambre.
Nous sommes donc souvent deux personnes au moins. Celle que nous voulons faire paraître et celle que nous sommes. J’avais dit plus tôt que j’assumais, comme beaucoup d’entre vous qui lirez ces mots, mais soyons honnêtes, n’auriez-vous aussi pas prié pour ne pas être découvert à cet instant ? On ne peut jamais prévoir la réaction de ses amis ou de ses connaissances et c’est ce doute qui nous pousse à demeurer raisonnable et discret sur certaines de nos actions ou pensées.
Là où je veux en venir, c’est qu’il y a eu une occasion où Aurélia aurait pu me voir nu, en train de me faire du bien, cela aurait été possible, mais au dernier moment, je me suis ravisé et caché de peur que cela ne change tout.
C’était un soir où j’étais dans le salon et je ne me ...
... doutais même pas que mon colocataire était avec Aurélia dans sa chambre. J’étais venu chercher un jeu avant de retourner dans ma chambre. Comme je me pensais seul, je n’ai pas pris la peine de m’habiller, mais je m’épancherai sur mes tendance naturiste une autre fois sûrement. Je venais de regarder un porno et de me branler, mais le piquet était toujours tendu. J’en ai profité pour me prendre une bière dans le frigo et en le refermant et éteignant la lumière, j’ai entendu la porte de la chambre de mon colloc s’ouvrir. Un frisson de peur a parcouru ma colonne avant que mes jambes ne me propulsent dans le salon en face. Je me suis rabattu derrière l’ouverture et c’est là que j’ai vu Aurélia surgir pour aller dans la cuisine et se préparer un thé. Elle était en pyjamas et moi nu. Du coin de l’œil, je regardais la femme sujet de mes secrets désirs. Ce n’était pas un pyjama sexy ou autre, à vrai dire, je ne saurais plus vraiment dire ce que c’était avec précision maintenant. Je me souviens juste que je pouvais dévorer ses courbes et voir parfois que ses tétons étaient durs et saillant, étirant son haut. Alors même que je m’étais satisfait quelques minutes plus tôt, mon dard était de nouveau dur et prêt à l’emploi, implorant que je ne le dégorge à nouveau. J’ai commencé à me caresser à nouveau, ne pouvant résister à cette envie me submergeant. Ces douces caresses où l’on est subjugué par le plaisir montant à toute allure car on espère en même temps ne pas être découvert. Je ne voulais ...