Petite Ombeline et "L'autre" (1)
Datte: 08/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: pulzer, Source: Xstory
... conseils utiles au cours de cette enquête.
Quand j’allai me coucher, je ne savais pas encore que L’autre allait apparaître cette nuit.
Je venais de fermer les yeux, et de plonger dans les bras de Morphée, quand je crus être réveillée. J’étais plus grande, plus femme, j’étais quelqu’un d’autre. Cependant, je savais que cette autre, c’était moi, car je me vis dans un miroir et nous avions les mêmes yeux vairons et la même chevelure châtain en crinière que m’enviaient beaucoup de femmes et de filles au collège.
En face de moi, Philippe, le prof de maths. Il était nu et moi aussi. Je m’approchai de lui d’un pas félin, je me mis à genoux devant lui et joignis mes mains comme pour prier. Sauf qu’au lieu d’un missel, c’était la queue bandée de Philippe qui se trouvait entre mes doigts croisés. Je fis aller et venir mes longs doigts manucurés sur cet instrument de plaisir, arrachant un grognement de contentement à mon partenaire du moment. Il semblait aimer le traitement que j’infligeais à son membre turgescent.
Soudain, j’eus envie de goûter ce vit. Je commençai par le lécher toute sa longueur, comme un bon sucre d’orge. Puis j’embouchai rapidement ce bâton de réglisse pour le déguster. Car oui, Philippe était noir, un beau noir ébène, et un membre, mhhhh, dans mon rêve, il était parfait... C’est l’avantage des rêves. Je disais donc que j’avais ce membre noir en bouche et que j’appliquais toute ma science de la fellation, science que j’ignorais être aussi grande, mais ...
... tant mieux, car mon partenaire était, lui, enchanté de ma prestation. Il interrompit mon œuvre le temps de se glisser sous moi et d’entreprendre un travail d’inondation de la grotte. J’entends par là qu’il lécha ma fente, déjà suintante, tant et si bien qu’à peine quelques instants plus tard, c’était presque un torrent qui en sortait. Nous passâmes un bon moment à nous déguster ainsi, jouant de la langue et des doigts sur le sexe l’un de l’autre.
Il roula soudain pour passer au-dessus, se remit dans le même sens que moi et, après avoir copieusement joué avec ma belle poitrine, il m’embrassa, tout en m’empalant de son vigoureux membre. Notre union dans la position du missionnaire dura longuement, je me sentais couler et je sentais ses énergiques allers et retours. Lorsqu’il me sentit trop proche du plaisir ultime, il interrompit son pistonnage. Il laissa retomber la pression entre nous en jouant à nouveau avec mes seins et en m’embrassant divinement.
Quand il pensa que c’était assez, il redémarra ses va-et-vient et, accélérant de plus en plus, explosa au fond de mon vagin déjà inondé, ajoutant sa semence à mon propre jus. Tant et si bien que j’avais l’impression que mon lit était une piscine. Je jouis dans un long gémissement, bâillonnée par un ultime baiser de mon amant, et me rendormis aussitôt.
Au réveil, L’autre était bien évidemment partie, de même que Philippe n’avait jamais été là. Mais je dus me rendre à l’évidence, j’avais réellement pris mon pied dans la nuit, ...