Ah les seins de Monique, meilleure amie de ma mère (7)
Datte: 07/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: mortimer60, Source: Xstory
... magistrale de mon amie.
Le temps de revenir sur terre, Monique regarda avec insistance ma queue particulièrement dure et violacée et se tourna pour la prendre en main, puis en bouche, avec un plaisir évident. Elle déploya tout son talent pour moi, alternant les périodes de pompage, lentes ou rapides, avec des visites de mon anatomie, passant de mes bourses au périnée, allant titiller mon petit trou, sans oublier de caresser ce dernier du bout de ses doigts. Elle me léchait avec délectation le périnée et les cuisses quand Blandine décida qu’elle ne pouvait plus se retenir. Elle se rapprocha de nous, sans d’ailleurs que sa mère ne manifeste la moindre surprise, et vint passer sa langue lentement sur le bout de mon gland et sur le frein.
La vision de « mes » deux femmes s’affairant sur moi était tellement excitante que je ne tardai pas à craquer, et j’eus l’impression que mes jets partaient à plusieurs mètres de haut ! Mes deux coquines, qui venaient de me donner un plaisir indicible, étaient toujours à quelques centimètres l’une de l’autre, et se regardaient avec un sourire complice. Ce fut Monique qui se rapprocha du visage de sa fille. Celui-ci était plein de sperme, et elle passa d’abord un doigt dessus, puis sa langue pour goûter à nouveau mon jus, avant de se pencher pour embrasser Blandine avec un regard aimant qui n’était pas seulement maternel. Monique, je le savais bien, adorait les longs baisers tendres. Celui qu’elle échangea avec sa fille dura ...
... indéfiniment.
Loin d’en être jaloux, j’étais en extase devant le spectacle, et plus encore quand Blandine prit l’initiative de venir caresser les seins de sa mère. Celle-ci recommençait à se tordre de plaisir, surtout quand ma langue reprit du service en revenant caresser son sexe bouillant. Mais Blandine avait manifestement dépassé les limites de sa patience ; elle me somma de venir la prendre, et se mit en levrette en se caressant la chatte. Impossible de se soustraire à une demande pareille ! La coquine était tellement excitée que je la pénétrai en douceur, sous les yeux admiratifs de sa mère. Blandine était déchaînée, et criait qu’elle adorait ça, que c’était trop fort de faire l’amour avec sa mère, qu’elle l’aimait...
Elle lui demanda de l’embrasser de nouveau, mais très vite, Monique se glissa sous le corps de sa fille que je besognais frénétiquement ! Complètement libérée, elle lui lécha longuement les seins et, se contorsionnant un peu, se plaça en soixante-neuf. Je compris qu’elle avait commencé à lui caresser le clito du bout des doigts, puis un peu plus tard de la langue, avant de lécher avec jubilation son sexe... et le mien ! Elle allait partout, de mon cul à celui de sa fille, de mes couilles à son clito, et elle aimait ça ! Blandine aurait sûrement bien voulu rendre la pareille à sa mère, mais elle en était incapable, emportée dans un tourbillon de plaisirs entre simultanés ; elle jouit plusieurs fois en hurlant littéralement. Cette situation était tellement folle que je ...