1. Plus il y a d'hommes, mieux c'est (1)


    Datte: 07/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: ArnaudLe, Source: Xstory

    ... remplacer, poussant le foutre encore plus profondément en moi. Je peux sentir ma mouille couler sur le sol, et les entendre apprécier le spectacle.
    
    — Je vais jouir !
    
    Je ne sais pas qui parle, mais très vite, je sens du sperme se déverser dans ma bouche, m’obligeant à avaler une troisième charge, suivie de deux charges dans mes parties. Alors qu’ils se retirent tous, je sens mon corps lâcher, et je m’effondre sur le sol, en haletant.
    
    — Allez, plus que quatre.
    
    — J’ai plus de force.
    
    — Je peux te porter.
    
    L’homme qui dit ça est l’un des défenseurs, ancien rugbyman, et il me soulève du sol sans problème, avant de venir pénétrer ma chatte de sa verge.
    
    — Aahh...
    
    Alors qu’il pénètre ma chatte déjà bien souillée, je sens une autre bite entrer dans mon cul.
    
    — Ca rentre facilement, je suis sûre que tu pourrais en prendre deux dans chaque trou.
    
    En disant ça, je sens une troisième et une quatrième bite entrer en moi, me faisant lâcher un énorme gémissement.
    
    — Aaaaahhh.
    
    Ils se mettent à tous bouger avec des rythmes différents, et je peux sentir un mélange de douleur et de plaisir qui me font presque jouir.
    
    — Ah... je vais...
    
    J’essaie de résister, mais ils accélèrent le rythme, et finissent par me ...
    ... faire jouir en lâchant toutes leurs charges en moi.
    
    — Ah... ah...
    
    Il me repose sur le sol, et je sens des vagues de frisson parcourir mon corps, alors que leurs semences coulent hors de mon corps.
    
    — C’est dommage qu’on soit limité à une seule charge, car on a tous craché très vite, mais on pourrait tous repartir pour un tour.
    
    — Je peux plus bouger désolé. Si vous voulez jouir, vous devrez le faire sans moi.
    
    Alors que je dis ça, j’en vois un s’approcher en se masturbant, très vite imité par les autres. Je comprends assez facilement où ils veulent en venir, et je me débats afin de retirer ma tenue, leur montrant mon corps nu, et il ne leur faut pas longtemps avant de couvrir mon corps de leur semence, les uns après les autres.
    
    Il me faut quelques minutes avant d’être de nouveau dans un état normal, et tout le monde est parti. Je vais pour enfiler ma tenue, mais elle est à moitié blanche, j’imagine qu’ils ont dû l’utiliser pour s’essuyer. Alors que je l’enfile, j’entends une personne tousser derrière moi. En me retournant, je me trouve face à la maire qui s’approche, un sourire sur le visage.
    
    — Vous êtes magnifiques comme ça. Si jamais cela vous a plu, j’ai quelques projets pour lesquels vous pourriez m’aider. 
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