La méthode abominable pour l'avoir (1)
Datte: 06/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Désolation, Source: Xstory
... ce qui me plaisait, c’était son innocence, elle semblait être une ingénue qui avait réussi à survivre dans ce monde impitoyable grâce aux autres. Comme si on l’avait toujours portée pour que ses chaussures blanches restent immaculées.
Léa était très timide et ne participait jamais en cours. Cela me faisait une question de moins à traiter. Cinq collègues m’avaient posé des questions, cela faisait plus de 45 minutes que j’étais au tableau en essayant avec toute ma volonté de cacher mon terrible secret: j’avais l’anus qui me grattait affreusement. Je souriais et répondais avec le plus de sérieux, mais au fond de moi, la pire des souffrances, le cul qui démange. Cela parait anecdotique, mais ce fut un élément très important.
Après que mes camarades aient fini de me cuisiner, mon professeur voulant me poser une question, faisait en réalité un monologue interminable. Je rêvais de glisser mon doigt entre mes deux fesses et de me gratter avec les ongles. Il m’était déjà arrivé d’avoir l’anus grattant, mais depuis ces dernières semaines, cela devenait réellement une torture.
Une fois le cours fini, je filai chez moi à toute allure. Tandis que je marchai, j’imaginais une façon de soulager cette démangeaison. J’imaginais plusieurs solutions, utiliser une éponge pour le côté abrasif, j’imaginais même me faire pénétrer par un pénis. Je chassai vite cette idée, je n’étais pas gay, mais l’idée que j’aurais tout fait pour assouvir ce besoin de grattage me faisait un peu ...
... peur.
Arrivé chez moi, je filai sous la douche et me grattai avec une jouissance qui n’avait rien à envier à une éjaculation de fin de journée. Je sortis me sécher et reçus un message de ma sœur:
— Isaac, fais gaffe, tu es rentré ce Week-end, mais j’ai vu un médecin, j’ai des vers, il faudrait que tu en consultes un aussi, c’est trop dégueu !
Je fus sous le choc, nous avions dû manger quelque chose de pas frais chez mes parents (chez qui nous avions passé plus d’un mois). Je contactai tout de suite un professionnel de santé et le verdict: j’avais bel et bien des vers. Ces créatures aussi appelées "oxyures" pondaient des œufs et se logeaient sous les ongles, ce qui leur permettait de se déplacer. Il fallait donc bien se laver les mains, changer souvent de sous-vêtement et prendre un traitement.
J’étais satisfait de pouvoir enfin me débarrasser de tout cela. Sur le chemin du retour, je repensai au fait que la démangeaison était parfois telle que l’on aurait mis n’importe quoi dans le cul tant que cela nous soulageait. J’eus alors une idée. Une idée nauséabonde, mais que je n’arrivai pas à sortir de ma tête. Si Léa en avait, peut-être que si j’étais là au bon moment, il y aurait un coup à jouer avec elle.
Je ne pris pas mon traitement tout de suite. Je partais en cours, ne me lavant pas les mains et essayant de toucher le plus ses affaires. Un midi, Léa était partie discuter avec le professeur. J’en profitais pour prendre sa lime à ongles et fuyais aux toilettes. Je me ...