1. La jupe (5)


    Datte: 06/05/2022, Catégories: Transexuels Auteur: trolive, Source: Xstory

    ... rangeait ses sous-vêtements. Y étaient parfaitement pliés 2 chemises de nuit en coton, ses soutiens-gorges et ses slips, ceux-ci étant quelquefois assortis aux soutifs. Il paraîtrait bien sage maintenant, en coton blanc ou de teinte pastel, avec une petite broderie en dentelle fine autour des élastiques. Certains étaient ornés d’un petit cœur, d’un petit nœud ou d’un mot...
    
    J’hésitai à peine pour la couleur. J’optai et j’enfilai une culotte rose pâle, elle me serrait un peu, mais sa forme permettait à ma bite de ne pas dépasser. J’eus encore du mal à agrafer le soutif de Lydie (ceux de Bab n’étaient pas du tout adaptés à mon tour de poitrine)... puis je passai la robe sans réussir à remonter tout à fait correctement la fermeture au dos. Je revins dans la chambre...
    
    Elle m’attendait debout, les épaules appuyées contre le mur, le bassin en avant... Elle avait gardé sa culotte.
    
    — Viens... viens m’embrasser... dit-elle d’une voix étrange...
    
    Je m’approchai d’elle, je bandai fermement et cela se voyait. Mes lèvres se posèrent sur les siennes, nous nous embrassâmes à pleine bouche... Nos langues tournoyèrent fougueusement pendant que ses mains glissaient sur mes fesses, les pétrissant alors que les miennes restaient sagement sur ses reins...
    
    — Rien que d’entrevoir ces bretelles de soutif sur toi, ça me trouble, ajouta-t-elle dans un souffle.
    
    Une de ses mains se posa sur mes hanches et remonta jusqu’au soutien-gorge, ses doigts tâtonnèrent pour trouver, à ...
    ... travers les étoffes, mes petits tétons... les saisissant, elle les agaça de ses ongles pour les faire durcir, ce qui ne fut pas long...
    
    — Hummm c’est bon... avouai-je.
    
    Elle les pinça alors fortement tout en m’embrassant profondément.
    
    — oooohhhh oui, oui, c’est bon... murmurai-je, tremblant, dans un borborygme baveux.
    
    Elle joua avec la pointe de mes seins, les triturant et les roulant entre ses doigts... me regardant droit dans les yeux, affirmant d’un ton rauque :
    
    — tu aimes quand je pince fort, n’est-ce pas ?... puis joignant le geste à la parole, elle serra et tourna mes tétons jusqu’à ce que je geigne :
    
    — mmmmhhhh... oui... j’aime... répondis-je en serrant les dents sous la douleur.
    
    Elle réitéra son geste plusieurs fois sans me lâcher des yeux, y cherchant mon plaisir mêlé de souffrance. Sa bouche se pinça et je vis se contracter sa mâchoire.
    
    Puis, elle posa ses mains sur mes épaules, et exerça sur celles-ci une pression jusqu’à ce que je m’agenouille face à elle.
    
    — Lèche-moi... fais-moi jouir, me dit-elle sèchement.
    
    J’avais le nez au niveau de sa petite culotte blanche en coton brodée d’une très fine dentelle. Je ne la baissai pas, je me contentai juste de frotter mon visage contre elle, de respirer à pleines narines l’effluve particulier qui s’en dégageait, puis délicatement, j’en écartai le fond. Sa fente m’apparut dégoulinante de mouille. A nouveau, je sentis son odeur de femme qui me rendait fou de désir. Je soufflai doucement sur ses lèvres ...
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