Jin
Datte: 03/05/2022,
Catégories:
hh,
inconnu,
caférestau,
revede,
Masturbation
intermast,
Oral
hsodo,
confession,
gay
Auteur: Jokari, Source: Revebebe
... Tu crois ?
— Bien sûr ; écoute : comme je dois fermer le restaurant, au lieu de boire le« meï kwei lou » ici comme d’habitude, je te propose de le prendre chez moi, j’habite juste à cent mètres, ainsi nous serons plus confortables pour discuter.
Jacques avait l’impression de marcher sur un chemin dont la pente s’accentuait de plus en plus, sans qu’il puisse maîtriser sa direction.
— Avec plaisir, finit-il par dire.
Le sourire de Jin l’envoûtait complètement et il ne voyait pas comment refuser.
Jin habitait un deux-pièces confortable, situé en effet pas très loin de son restaurant. Contrairement à ce à quoi il s’attendait, le mobilier n’était pas du tout dans le style asiatique. L’ensemble était sobre, fonctionnel et les murs étaient décorés de posters représentait des avions de ligne des années 50. Un canapé noir tendu de velours occupait un mur en totalité.
À peine entré, il invita Jacques à prendre place dans le canapé, puis alla prendre une bouteille et deux verres. Il servit le« Meï kwei lou » et ils trinquèrent à leur rencontre et à leur amitié naissante.
Jacques complimenta Jin pour le bon goût de son ameublement et ils devisèrent un moment sur le sujet.
Jin s’était levé tout en parlant, et était maintenant face à son invité.
— Tu sais, Jacques, je voudrais te dire quelque chose d’important : je serais vraiment honoré d’être ton fantasme…
— Co… comment ?
— Eh bien, tes pensées inavouées, dont tu parlais : je serais vraiment heureux de t’aider ...
... à les regarder en face, cela t’aiderait à voir en toi, cela ne peut qu’être positif de réaliser ton fantasme.
— Euh… là, comme ça ? il bredouillait de plus belle en se sentant entraîné vers une cascade, comme dans le film « Niagara ».
Il était incapable de prononcer une parole, hypnotisé par le sourire de Jin dans les yeux duquel il avait l’impression qu’il allait se noyer…
Le pantalon de Jin venait de tomber à ses pieds et Jacques était stupéfait : en guise de slip, il portait une petite culotte comme en portent les femmes, de tissu très fin et quasi transparent. Au travers on voyait son sexe qui se gonflait déjà. Jin s’était rapproché, et devant le manque de réaction de Jacques, il lui saisit la main et la mit contre son sexe qui gonflait de plus en plus :
— Tu vois, il est prêt, rien que pour toi.
Jin fit glisser sa culotte dans un bruit soyeux et son pénis, de belle taille, était maintenant dressé, face aux lèvres de Jacques qui tremblait, paralysé par cette situation qui le dépassait complètement.
— Fais-lui des bisous pour lui dire que tu l’aimes, dit Jin tout doucement.
Jacques était complètement subjugué : ce sexe, incontestablement viril, était en contradiction avec la personnalité féminine de Jin telle que tout son être l’exprimait, mais il était irrésistiblement attiré par lui et il avança les lèvres jusqu’à toucher le gland. Au contact, le pénis de Jin tressaillit.
— Il est content, chuchota Jin.
Encouragé, Jacques caressa le gland de sa ...