Marc et Laura partagent leurs expériences (2) - Histoires de Sexe

Marc et Laura partagent leurs expériences (2)

... Tout comme ça doit te démanger de me le dire.

— C’est vrai. Elle m’a demandé si nous avions passé un bon moment et si le menu nous avait convenu.

— Que lui as-tu répondu ?

— Je lui ai dit que tout était parfait et que j’avais plus particulièrement apprécié le dessert. Je lui ai demandé si elle avait apprécié de nous servir et elle m’a répondu qu’elle avait passé un très bon moment en notre compagnie.

— Sympa comme réponse. C’est tout ?

— Non, je lui ai demandé ce qu’elle a ressenti en nous matant. Et tu sais ce qu’elle m’a répondu ?

— Non, dis-moi !

— Elle s’est approchée de mon oreille et m’a soufflé qu’elle était trempée et qu’elle regrettait que son service se termine trop tard pour nous en donner la preuve.

— Wouah, tu me fais bander de nouveau.

— Tu m’étonnes, j’en ai frissonné jusqu’en bas de mes reins.

Arrivés à la voiture, je plaque Laura contre la portière et glisse ma main entre ses cuisses pour enfoncer deux doigts en elle, la faisant gémir de plaisir. Son sexe est chaud et trempé d’excitation. Mon autre main caresse sa poitrine d’un sein à l’autre, d’une pointe à l’autre, et je l’embrasse fougueusement. Ma langue joue avec la sienne, nos salives se mélangent. Mes doigts fouillent sa chatte que je sens gonflée d’envie, découvrant avec mon pouce son clito déjà tout dur et sensible. Je courbe mes doigts en elle, ce qui lui procure un premier orgasme libérant un jet de mouille sur mes doigts, qui coule le long de ses cuisses.

Sans ...

... transition, je retire ma langue de sa bouche, ma main de sa poitrine et mes doigts de son sexe.

— On part.

— Tu me laisses dans cet état ? J’ai envie de ton sexe en moi !

— Monte en voiture, ce soir, c’est moi qui décide de tes plaisirs.

— Tu es un pervers.

— Je sais que tu aimes ça.

Nous quittons le parking du restaurant pour sortir de la ville, direction notre maison située dans la campagne environnante. Sur le trajet, je glisse ma main entre ses cuisses. Laura a remonté sa jupe sur sa taille, laissant la possibilité aux conducteurs de véhicules plus hauts que le nôtre de voir sa chatte lisse et luisante de mouille.

— Tu aimes que je te doigte en espérant qu’on te voit, n’est-ce pas ma salope ?

— Humm oui, ça m’excite. S’il te plaît, arrête-toi quelque part, j’ai envie de toi, que tu me fasses jouir.

A l’intersection suivante, je sors de la route principale pour nous diriger vers le parking de la zone commerciale dans laquelle il y a parfois, à une certaine heure, des voitures stationnées de couples et d’homme seuls pour des relations quelque peu coquines.

Je gare la voiture à une distance suffisamment éloignée et proche à la fois des véhicules présents sur le parking d’un grand magasin. Je descends de la voiture et viens ouvrir la porte de Laura.

— Reste assise, tourne-toi et mets tes jambes à l’extérieur. Écarte-les.

Je glisse deux doigts dans sa chatte trempée. Laura est au bord de l’explosion. Ses yeux sont révulsés, sa bouche ouverte ...