La bourgeoise et le marabout (67)
Datte: 30/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
En ce dimanche midi, le déjeuner à peine terminé, mon mari François me dit :
— Chérie, cet après-midi, prépare-toi une petite valise avec quelques tenues sexy. Et de quoi partir 5 jours pour un petit voyage.
Comme je le regarde avec surprise, il poursuit :
— Oui, comme tu as une petite semaine de vacances à compter de demain alors que je travaille, je t’ai organisé un petit voyage. Mais sois tranquille, je ferai en sorte d’être avec toi par Skype !
Je ne cherche pas à comprendre et je lui réponds :
— Pas de souci chéri ! Vu ce que tu me demandes, je mettrai dans la valise les tenues que tu apprécies tout particulièrement.
Il acquiesce :
— C’est parfait. Nous partirons de la maison à 22h00, car je t’accompagne en voiture jusqu’à ta première destination.
Je suis très intriguée, mais je ne cherche pas à comprendre. Connaissant mon mari, je me doute que cela va être érotique et pervers. Mais ce n’est pas pour me déplaire.
A 22h00, nous avons achevé notre dîner et rangé la cuisine. Ma petite valise est prête avec mes vêtements et lingerie, ainsi qu’un vanity case avec mes affaires de toilette et de maquillage. Dix minutes plus tard, nous voici en voiture roulant sur le périphérique extérieur. Parvenu à la porte de Bercy, François prend l’autoroute A4 et le compteur de notre Mercedes affiche vite un petit 130 kilomètres/h. Une quarantaine de minutes après, François se gare sur l’aire de services de Ferrières à la hauteur de Bussy Saint Georges. Il me dit ...
... :
— Viens, nous allons prendre un petit café.
Nous descendons de la voiture ; il fait presque nuit et l’air est encore chaud de la chaleur de cette belle journée de juillet. La boutique de la station est relativement calme ; nous commandons deux cafés et nous installons à une table dehors du côté du grand parking pour les camping-cars et les camions. Tout en buvant mon café, je jette un œil à François qui est avec son téléphone portable et semble écrire des mails. Au bout d’une dizaine de minutes, nos cafés terminés, il me dit :
— Viens chérie, ton voyage commence ici !
Il me prend par la main et, au lieu de repartir vers notre voiture, m’entraîne vers l’endroit où sont stationnés de gros semi-remorques. Nous passons devant les camions qu’il semble détailler avec attention puis s’arrête soudain devant un camion Volvo avec une remorque frigorifique. Il fait un petit signe à l’homme qui est dans la cabine ; la portière gauche s’ouvre et un homme en descend. Il doit bien avoir la cinquantaine, costaud et trapu. Il s’avance vers nous en me regardant de ses yeux lubriques. S’adressant à François, il lui dit :
— Bonjour François, je suis Philippe, le routier belge avec qui tu as discuté.
Mon mari lui fait un grand sourire et lui répond :
— Bonjour Philippe, ravi de te rencontrer enfin après ces deux semaines d’échanges informatiques. Voici Hélène, mon épouse dont je t’ai parlé.
Le dénommé Philippe me regarde de la tête aux pieds puis des pieds à la tête en ...