1. À 18 ans, j'ai reçu la fessée comme un petit


    Datte: 01/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: reddust6935, Source: xHamster

    ... maintenant! Il relâcha mes cheveux et je me mis à sangloter comme un bébé. -Pitié, papa, pas ça, c'est pas possible! -Tu préfères peut-être que je le fasse sur le balcon pour que tout le voisinage puisse te voir? - Oooh, nooon, papa. -Alors, et c'est la dernière fois que je te le dis, déshabilles-toi! La mort dans l'âme, je me mis à dégrafer très lentement ma chemise puis je l'ôtai, pour me retrouver à torse nu. -Ton pantalon, maintenant! Je m'exécutai en pleurnichant et je sentais la honte rougir encore un peu plus mes joues, déjà coloriées par l'avalanche de gifles. J'étais désormais vêtu de mon seul slip, face à une Émilie qui commençait à trouver de plus en plus amusante la perspective de ma future humiliation et sur le visage de laquelle je pouvais observer maintenant un franc sourire. Mais, avant que d'autres considérations n'aient le temps de traverser mon esprit, papa s'empara d'une chaise puis il enserra d'une seule main mes deux poignets derrière mon dos, et me jeta violemment en travers de ses genoux. Je crus défaillir lorsque je sentis son autre main se saisir de l'arrière de mon slip et le faire glisser, pour dévoiler mes deux globes fessiers dans leur plus totale nudité à la vue d'Émilie. La large et rugueuse paluche de mon père commença alors à s'abattre avec une extrême v******e, et avec la régularité d'un métronome, sur ma croupe dénudée qui ne tarda pas à prendre la teinte d'une écrevisse ebouillantée. Je hurlais comme un damné, autant de rage que de ...
    ... douleur, et je sentais les larmes et la morve dégouliner sur mon visage, tout en entendant distinctement Émilie rire aux éclats. Cette terrifiante fessée dura un bon quart d'heure car à chaque fois que mon père envisageait de s'arrêter, sa rage reprenait de plus belle et il recommencait avec encore plus de vigueur. Lorsqu'il en eût enfin terminé, je m'empressai de me relever et de remonter l'arrière de mon slip, afin de masquer à la vue d'Émilie mes deux fesses cramoisies et endolories. Gravissime erreur! -Je t'ai dis de te rhabiller, gamin? Je vois que tu n'as toujours pas saisi la leçon! Mon père ouvrit une des armoires de la chambre et en ressortit le terrible instrument qui me terrifiait lorsque j'étais petit, le tape-tapis. -Avec ça tu vas peut-être enfin comprendre et pour en être certain, tu vas voir comment je vais m'y prendre. Cette fois, tu peux complètement lui dire adieu à ton slip. Il m'agenouilla devant Émilie et retint de sa main ferme mes deux poignets au dessus de ma tête puis, avec une rapidité qui me laissa complètement surpris, il ôta d'un seul coup cette dernière parcelle de vêtement qui cachait ma plus stricte intimité. J'étais nu comme un ver et le tape-tapis s'abattait avec furie sur mon derrière, faisant danser ma petite quéquette comme un asticot au bout d'un hameçon, en face d'une Émilie cette fois-ci morte de rire. Cela dura longtemps, puis il m'envoya meurtri et nu dans mon lit et renvoya ma camarade chez elle. Pourtant, c'est le lendemain que le pire se ...