Mon Professeur d’E.P.S
Datte: 29/04/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Cecilia69, Source: Hds
... il fait bouger ma tête, ainsi, il bouge lui aussi dans ma gorge.
D’une voix rauque et autoritaire, il dit soudain : Attention ma chérie, ça va arriver !
Et cela arrive en effet, à peine quelques secondes plus tôt, il se retire aussitôt pour me laisser savourer tout son sperme, son jet démesurément puissant et inspiré m’a bien envahie...
Le goût de son sperme quoique âcre à une saveur bien particulière : celle de mon homme, celui que j’aime tant.
J’apprécie son offrande, lèche le coin de mes lèvres avec sensualité devant lui et décide de ne pas aller rincer ma bouche comme il le désire.
Il m’attire à nouveau à lui en insistant en prenant une voix aussi douce que du miel.
Je refuse à nouveau tout en caressant ses cuisses musclées.
Je me demande bien quelle heure il est désormais, il n'est probablement pas loin de vingt heures, le coucher de soleil se dessine par la petite fenêtre.
Il me reconduit jusqu’à la chambre, nous nous allongeons l’un contre l’autre, assez fatigués...
L’anneau d’argent qu’il porte à son oreille droite et sa montre d’acier brillent étrangement dans la pénombre régnant dans la pièce, ses yeux magnifiquement bleus me regardent avec une tendresse qui me touche alors que je me colle tout contre sa hanche.
Sa montre indique qu’il est 21 h 53,
Mes parents vont se demander où je suis passée, zut alors !
Mes parents vont se demander où je suis passée, zut alors !
Lentement, en effleurant ma peau, il me rhabille.
C’est ...
... à mon tour ensuite de le rhabiller, mais il refuse avec amusement, prétextant qu’un jogging est assez pénible à enfiler.
Admirative et amoureuse, je l’observe donc, remettre son jogging et son sweat avec de grands gestes vifs, trahissant son impulsivité de toujours...
Ensemble, nous sortons donc, nous sommes les seuls, l’heure du couvre-feu étant dépassée, je ne résiste pas à la tentation de serrer sa main fort dans la mienne, un large sourire aux lèvres.
Il me fait basculer dans ses bras, plonge la tête dans mon décolleté pour m’embrasser langoureusement à la naissance des seins puis je l’enlace, il me plaque contre le mur environnant et m’embrasse en faisant courir ses mains le long de mon débardeur.
Je sens son sexe qui n’est pas encore revenu à sa taille initiale, tout contre ma hanche.
Je caresse ses cheveux gris, étonnamment doux, qui rebiquent, frôlant ainsi mon front lorsque nous nous embrassons...
Mon téléphone retentit, troublant la magie du moment, je soupire et m’en empare, c’est mon père, je décroche donc, je lui dis que je rentre sur-le-champ et que je m’excuse déjà pour le retard, apparemment, il s’en moque, tant mieux !
Après un dernier baiser passionné, Vincent et moi sommes donc contraints de nous séparer...
À mesure que je m’éloigne, je prends conscience que lui est à l’arrêt, m’observant d’un air bravache, les bras croisés et la mine fière.
Je me retourne, il me fait signe, en retour, je lui envoie un baiser, le cœur affolé et ...