La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1496)
Datte: 28/04/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... pas le cas pour moi… J’ai encore tendance à cacher ma nouille qui, elle, n’est pas indifférente, oui je dis bien ‘nouille’ comme appelle mon appendice sexuel, Monsieur le Marquis. L’autre soumise, également sans aucune réserve de pudeur, (d’ailleurs j’ai compris assez rapidement que la pudeur n’existait plus dans leur condition servile, autant que l’intimité ou la honte qui n’avaient plus lieu d’exister) est allé chercher une bassine et un tuyau d’eau muni d’une canule… Sur un signe aimable et doux, je dois me courber en avant pour m’insérer la canule dans mon anus pour mon lavement… Une eau tiède s’empare de mon fondement… Puis un autre signe, je dois me purger accroupi dans la bassine… C’est fort en humiliation, les fois où je m’étais fait un lavement, c’était seul… Lors de la vidange de mes intestins, étant accroupi, je suis à la hauteur des sexes des deux femelles. L’une d’elle porte un petit cadenas fixé à deux anneaux-piercings de part et d’autre de ses grandes lèvres intimes. L’autre un double plug obstruant tant son vagin que son anus. Trois lavages sont nécessaires pour que l’eau qui s’évacue de mes entrailles soit bien claire. J’ai même droit à un quatrième pour éviter les remarques du Majordome de Monsieur le Marquis. Une chose de faite.
Je dois ensuite me positionner pour que mon corps soit bien étiré par des chaînes pendant du plafond et des anneaux fixés au sol : Les bras et les jambes en croix. Mon corps ainsi exposé est enduit de crème dépilatoire, une ...
... sensation de fraîcheur, mais aussi de malaise, lorsque ce sont ma nouille, mes couilles et mon anus qui sont enduits car ces massages très sensuels et faits avec application me font inévitablement bander, tandis que les deux masseuses effectuent leur travail, sans aucun sentiment de honte, de retenue ou de pudeur. Il faut absolument que je me détache moi-même, de ce corps qui appartient en totalité au Maître et que je perde tout sentiment de ‘propriété’ vis-à-vis de mon corps. Pendant les minutes nécessaires pour que la crème fasse effet, les deux chiennes de Monsieur le Marquis se sont positionnées de chaque côté de moi en position « Attente » debout. Je remarque une petite lampe clignotante juste en face de nous. Nous sommes observés par l’intermédiaire d’une caméra soit pour le plaisir des yeux, soit pour nous surveiller. Mais cela importe peu, n’oublions pas que notre statut de soumis implique de s’offrir, de perdre tout de notre « moi ».
L’une des soumises se lève et vient avec une petite spatule vérifier si la crème a fait son travail. Sur un signe à sa sœur en soumission, cette dernière se lève et chacune enfilant un gant de crin, tout en m’aspergeant avec le tuyau, frottent avec énergie sur mon corps pour le rendre aussi glabre que lors de ma naissance. Ce sera sûrement lors de ma présentation cette nouvelle naissance, la naissance d’un soumis, d’un être qui n’aura plus aucun intérêt que celui de servir, d’obéir, de subir et de souffrir pour plaire, pour satisfaire, ...