Vacances à la neige (1)
Datte: 28/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: doumeg170, Source: Xstory
... s’insinuent entre leurs corps serrés, partent à la découverte de l’intimité de l’autre. L’impatience gagne la jeune femme. Elle se glisse sous l’homme, et guide le dard de chair entre ses cuisses. Michel n’a plus qu’à avancer le bassin pour pénétrer sans peine dans un réceptacle doux et moelleux. Les deux amants restent immobiles un instant. Isabelle murmure :
— S’il te plaît, ne fais pas de bruit.
— Tu ne veux pas que les autres sachent ?
Elle ne répond pas, serrant les lèvres sur le soupir que Michel lui arrache en se retirant un peu. Il fait l’amour sans hâte, variant les poussées et les pénétrations. Isabelle maîtrise mal l’expression de son plaisir. Michel amplifie ses coups de reins. Le lit gémit...
— Sylviane ?
— Oui.
— Tu entends ?
— Quoi ?
— Ecoute.
De la chambre voisine parviennent des grincements de lit et des gémissements. Sylviane ricane.
— Ils ne s’embêtent pas à côté !
— Ils ont raison.
— Dis, j’ai impression qu’Isabelle prend son pied.
Françoise, écoute. Elle essaye de traduire les bruits qui sourdent à travers la cloison. Oui, Isabelle participe ! Il a l’air bon amant ce Michel. Elle s’en assurera demain, décide-t-elle. Sylviane s’étonne de son silence.
— A quoi penses-tu ? A Isabelle ? A Michel ?
— Embrasse-moi.
Sylviane pose ses lèvres sur celles de son amie...
— Arrête !
Etonné, Michel suspend son effort. Isabelle murmure à l’oreille.
— S’il te plaît, plaçons-nous sur le côté, nous ferons moins de ...
... bruit.
Il pense que c’est trop tard. Leurs compagnes doivent avoir deviné ce qu’il se passe, mais jugent inutile de la contrarier. Il l’enlace à bras le corps et sans la quitter, pivote sur le côté.
— Comme ça ?
— Oui, continue, mais doucement, sans bruit.
C’est la première fois qu’il possède une femme de cette manière. Leurs jambes mêlées le gênent au début. Puis il retrouve un rythme volontairement lent. Ses coups de reins ébranlent Isabelle qui les accompagne de soupirs éloquents. Elle enfonce les ongles dans ses épaules. Il la bâillonne d’un baiser, étouffant un long gémissement. Le corps qu’il tient dans ses bras tremble, communiquant à sa verge une vibration subtile qui accroît son plaisir. Il résiste à la tentation d’accélérer malgré la montée insidieuse de la jouissance. Il n’a pas le souvenir d’une étreinte aussi longue et aussi complète. Il maintient sa cadence lente. Il sent Isabelle se raidir puis se détendre, puis se raidir à nouveau sans modifier son rythme. La fierté de l’avoir fait jouir l’enveloppe et lui donne la force de résister à l’éclatement du plaisir qu’il recule à l’extrême limite.
— Arrrghh !
Il ne se contrôle plus et lâche sa semence dans les derniers coups de reins. Le lit gémit, les deux amants n’en ont cure et ne s’arrêtent que lorsque la verge du jeune homme se rétracte et sort de son logement. Ils reposent longtemps dans les bras l’un de l’autre...
Isabelle alertée par la respiration régulière de Michel constate qu’il dort. ...