1. Féminisation presque forcée... (10)


    Datte: 28/04/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bgp, Source: Xstory

    Elle se mit alors à donner de puissants coups de reins qui faisaient coulisser la titanesque bite de plastique sur toute sa longueur. Je vibrais de plaisir, je gémissais, couinais, avec une voix si aiguë que je ne la reconnaissais même pas. Plus elle me pilonnait, plus je sentais en moi cette sensation à la fois inconnue et familière d’un orgasme naissant. Comment était-ce possible pour un homme de jouir sans que son pénis ne soit stimulé ? Encouragée par mes glapissements, Samantha augmenta la cadence et percuta de plus en plus violemment mon petit fion qui rougissait sous les coups. Une vague de chaleur envahit tout mon corps et mon petit pénis se mit à littéralement pisser du sperme. Consciente et heureuse de ma jouissance, Sam ralentit la cadence, puis extirpa le pénis en latex de mon petit fion qu’elle venait de malmener. L’air froid entra dans mon anus dilaté et je frissonnai du vide laissé par l’énorme chibre.
    
    — Tu as bien pris ton pied petit salope ! A toi de bosser un peu, c’est toi qui vas me chevaucher maintenant.
    
    Samantha allongea son corps immense à côté du mien et prit son pénis dans la main pour qu’il adopte une posture verticale. Je compris qu’elle souhaitait que je m’empale dessus. Aussi rapidement que me le permettait mon corps meurtri par le traitement, que m’avait fait subir la géante, et encore vibrant du puissant orgasme que j’avais eu, je me déplaçais pour me mettre à califourchon sur ma maîtresse. Ses hanches étaient larges et je dus quitter mon ...
    ... slip pour pouvoir écarter suffisamment les jambes. Je positionnai mon petit anus à la verticale de l’énorme bite et fléchis mes genoux pour qu’elle me pénètre à nouveau entièrement. Je vibrais à nouveau d’un plaisir avec lequel j’étais de plus en plus familier. Je mis à onduler ma taille de guêpe pour faire coulisser le chibre de la géante. Ses larges mains vinrent machinalement l’entourer comme pour souligner ma minceur. Je m’échinais sur cet énorme dard comme la plus chaude des courtisanes, impatient de sentir à nouveau l’intense jouissance.
    
    Samantha invita Véronique à se joindre à nos ébats.
    
    — Viens ma belle, je sais que tu en meurs d’envie !
    
    A peine l’invitation lancée, Véronique avait sauté à genoux sur le lit. Elle se mit aussi à califourchon derrière moi et m’enserra dans ses bras puissants. Elle frottait son pénis contre ma croupe qui s’agitait toujours sur la bite de Samantha. Brutalement, elle me força à me pencher. Mon buste tomba sur l’énorme poitrine de Sam sur laquelle j’étais toujours empalé. Je sentis un deuxième gland contre mon anus et compris avec stupeur ce qu’elle essayait de faire ! Je tournai mon visage et l’implorai de ne pas me pénétrer.
    
    — Véronique ! Non ! Tu vas me déchirer !
    
    — Tais-toi petite pute !
    
    Sa lourde main s’abattit avec force sur mon petit séant et d’un coup de reins sec et puissant, elle me pénétra. Je n’osais plus bouger, de peur que mes organes n’explosent. Ce n’était de toute façon plus la peine, Véronique avait pris ...
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