Une soumise docile (2) - Histoires de Sexe

Une soumise docile (2)

... te joindre à moi.

Au moment où tu tires la chaîne, tu vois un gode ventouse installé dessus, prêt à rentrer dans un fourreau. Tu comprends pourquoi je veux que tu manges avec moi. Tu t’installes au-dessus du gode, le mets entre les lèvres de ta chatte et descends doucement dessus.

Il n’a aucun mal à entrer, car les attouchements que tu as subis pendant que tu cuisinais t’ont bien excité.

Tu sens les parois de ta chatte s’écarter sous la pression de l’objet et te remplir complètement. Ca te fait du bien, tu échappes un soupir sans t’en rendre compte.

Nous mangeons tranquillement et la chaleur dans ton bas-ventre monte progressivement. Car à chaque fois que j’ai soif ou que tu dois aller chercher quelque chose, ça t’oblige à te lever de ta chaise et de te rasseoir, ce qui a pour effet de faire des va-et-vient sur le gode.

Je profite de la situation pour te demander de me ramener et reposer le sel, le poivre, ou des épices alors que je ne les utilise pas.

J’aime te voir t’abandonner à mes envies, et de voir le plaisir monter en toi.

Enfin, le dessert arrive. Tu me le sers et te rassois sur ta chaise devant moi. Une fois assise, je vois que tu fais quelques mouvements du bassin, alors je te dis.

— Tu as droit également à de la crème en dessert, alors passe sous la table que je te la fournisse.

Tu te lèves et passes sous la table. Tu t’approches de moi, poses ta main sur ma braguette.

Tu sens que je suis en forme. Tu déboutonnes mon pantalon et le ...

... fais descendre sur mes chevilles. Tu commences par me lécher le gland. Tu me caresses les couilles et gobes ma bite dans ta bouche.

Tu commences les va-et-vient sur ma bite bien dure, ça me fait du bien. Je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir résister avec ce traitement. J’ai arrêté de manger tellement ta bouche est bonne.

Tu continues à t’appliquer et je sens que ma sève est sur le point de monter dans ma tige bien dure. Quelques secondes encore et tu sens entre tes doigts ma tige grossir, puis des jets te remplissent la bouche abondement. Il y en a tellement que tu ne peux pas tout garder en bouche et décides d’avaler de grandes gorgées. Tu me regardes dans les yeux, car j’adore voir ton plaisir dans tes yeux, à cet instant où tu reçois et te délectes de mon offrande.

Tu finis en me nettoyant soigneusement ma queue qui commence à débander, tu me remontes mon pantalon et sors de dessous la table.

— Merci mon maître pour votre offrande. J’aime boire votre semence et vous vider les couilles.

Je finis de manger mon dessert puis tu débarrasses la table et ranges toute la vaisselle dans le lave-vaisselle.

Je me lève pour aller dans le salon pendant que tu vas chercher dans le cagibi le seau et la serpillière, car tu dois nettoyer le sol de l’appartement.

Une fois préparé, tu trempes la serpillière et commences à frotter le sol à quatre pattes, tu commences dans le coin de la cuisine et recules progressivement pour laisser sécher la partie que tu viens ...