J'offre ma femme à d'autres hommes (3) - Histoires de Sexe

J'offre ma femme à d'autres hommes (3)

... l’amener à tenir un pari avec moi pour l’emmener dans le bois, avec l’espoir qu’ensuite, fidèle à ses fantasmes, elle ressente le sentiment d’être obligée de tenir son pari, sa parole... auquel cas ensuite s’il se passait des choses, c’était parce qu’elle était obligée... En tout cas, c’était tout ce que j’espérais !!!

Au restaurant, le repas se passa à merveille ! Je commandais à nouveau une coupe de champagne puis du vin !

Ma femme me disait : « Tu veux me soûler ou quoi ? Attention, me dit-elle, si je suis saoule, je risque de dormir illico en rentrant » me dit-elle en riant et m’adressant un magnifique regard qui en disait long sur ce à quoi elle pensait...

De mon côté, je multipliais également les situations : régulièrement je faisais semblant de faire tomber ma serviette pour me pencher sous la table et voir ses magnifiques jambes et au fur et à mesure du repas, je lui demandais d’écarter les jambes pour voir sa culotte ! Je faisais de plus en plus d’allusions coquines pour exciter ma chérie (en tout cas, ça marchait bien sur moi, car je bandais comme un taureau) et surtout, je multipliais les allusions sur la présence proche du bois et des voyeurs potentiels... et de l’intérêt de s’en assurer. Je comprenais bien que ma femme n’était pas complètement réticente (estimant qu’il n’y avait vraisemblablement aucun risque !), je n’avais pas de refus clair ou choqué, mais je n’avais toujours pas d’accord et je savais que ce n’était pas gagné !!!

Aussi, je sortis ...

... ma botte secrète : mon deal ! « Allez ma chérie, après le resto, on passe dans le petit bois, s’il n’y a personne, tu gagnes et mon gage sera de t’accompagner toute l’après-midi de demain à aller faire du shopping. Dans le cas contraire, c’est moi qui gagne et là, tu devras obéir à tous mes caprices !!!! » je lui disais avec des yeux très évocateurs...

— N’importe quoi ! me chuchota ma femme en hochant la tête négativement, tout en m’adressant un sourire complice. Puis tout en conservant ce sourire et regard complice que j’adore : « Tu viendrais avec moi ? Toute une après-midi ? Tu ne te plaindrais après mes cinquante essayages ? Tu porterais mes sacs sans rien dire ? » insista-t-elle.

Je sentais que je gagnais la partie ! « Un pari est un pari ! », je répondais bravement. On va faire un tour dans les bois, si au bout d’un quart d’heure/vingt minutes, personne n’est venu, on repart et je te devrais une ½ journée de shopping sans me plaindre. Par contre, si on tombe sur un voyeur... tu devras obéir...

S’ensuivit une négociation complice sur le temps d’attente dans le bois : je réclamais 20 mn, Virginie était d’accord pour 10 mn maxi... estimant que 20 mn étaient trop longues, on négociait à 15 minutes !!! Je lui fis faussement remarquer que 15mn contre une ½ journée, elle s’en sortait bien ! Mais secrètement, j’exultais ! J’arrivais à entraîner ma chérie dans le bois !!!!

A la fin du repas, j’allais payer et discrètement je faisais un SMS à mes deux complices, leur ...