1. À l'encre de ses yeux


    Datte: 16/08/2018, Catégories: fh, fhh, hbi, couplus, boitenuit, toilettes, hdomine, Oral préservati, pénétratio, fsodo, hsodo, Auteur: Slimen, Source: Revebebe

    ... branlait doucement, savamment. Je n’en pouvais plus et ce fut un réel soulagement lorsque Benoît se gara enfin.
    
    — Bon, merci beaucoup pour la soirée, vous ne m’en voudrez pas de ne pas monter, mais j’ai rendez-vous, nous lança-t-il, à peine arrêté.
    — Pas de problème, merci pour la conduite, et amuse-toi bien, lui glissai-je avec un clin d’oeil assuré.
    — Bah, on verra bien…
    — Je vais y aller aussi, je suis claqué, moi, tenta Raphaël.
    — Pas question que tu reprennes le volant dans cet état, décréta Vanessa, tu es saoul comme un cochon, tu ne conduis pas !
    
    Ne sachant que faire mais certain qu’elle avait raison concernant son état avancé d’ébriété, j’approuvai ma chérie et conviai Raph de monter avec nous, car nous avions un canapé-lit des plus confortables.
    
    Aussi nous sommes-nous retrouvés quelques minutes plus tard de nouveau affalés dans le salon, Vanessa dans le canapé, Raphaël à ses côtés et moi dans le grand fauteuil leur faisant face, tous un verre d’eau à la main. La discussion se faisait de plus en plus confuse, nos esprits tombaient dans une douce torpeur, lorsque le mien se mit à gamberger d’un coup : pourquoi Vanessa me regardait-elle ainsi ? Ses yeux semblaient me sonder et je ne savais ce qu’elle cherchait, ce qui était sans doute la raison de mon "réveil". J’eus tôt fait de comprendre.
    
    Sans me lâcher des yeux, elle prit la main de Raphaël qui somnolait à moitié, la porta entre ses jambes, ce qui le réveilla lui aussi, et dit d’une voix qui ne ...
    ... permettait aucun refus :
    
    — Raphaël, je crois que Cédric aimerait beaucoup voir de plus près comment tu me fais jouir !
    
    Mon sang ne fit qu’un tour. « Qu’est-ce qui lui prend » me dis-je ? Raphaël me regarda benoîtement, sa main était prisonnière de celle de ma tourterelle qui s’en masturbait doucement, et il semblait attendre mon approbation. J’étais coi, incapable du moindre mouvement ni de la moindre parole, aussi fut-ce Vanessa qui la prit pour insister :
    
    — Allez, Raph, qu’attends-tu, j’en ai très envie, toi aussi, et mon homme également, dit-elle en lui posant la main sur le cou pour l’inciter à joindre la langue à sa main.
    
    Docilement, Raphaël lui obéit et, timidement d’abord puis plus assuré, il fourra sa tête entre les jambes de Vanessa. Elle ne me quittait pas des yeux, je voyais peu à peu son visage laisser transparaître son plaisir alors que Raphaël lui retirait sa culotte et passait les mains derrière ses hanches afin de faire descendre son bassin et d’ouvrir un peu plus son mont sacré. Désormais débarrassé de toute pudeur, il se remit à la caresser puis vint la lécher goulûment, bruyamment.
    
    J’étais prisonnier du regard de ma chère et tendre et, en même temps qu’elle grimaçait sous les caresses de son amant, mon excitation montait de concert. Elle ne put longtemps garder le silence et commença à laisser échapper de petits gémissements familiers, signe du plaisir indicible qui montait en elle. Sa main me fit signe et, alors même que j’aurais juré ne jamais ...
«1...345...9»