Réveil
Datte: 25/04/2022,
Catégories:
jeunes,
BDSM / Fétichisme
nonéro,
portrait,
lieuloisi,
Auteur: Xochiquetzal, Source: Revebebe
... entourent un petit visage arrondi. Mais, dès qu’elle fait un mouvement, sa force se révèle par le jeu discret des muscles sous l’épiderme. Paradoxalement, malgré l’énergie qui se dégage de son corps, Alice est particulièrement timide et ne se lie pas facilement.
Elle habite toujours chez ses parents à Bordeaux et est maintenant titulaire d’une maîtrise de chimie. Elle, qui envisageait avec beaucoup d’insouciance son avenir professionnel au moment des vacances à la montagne, a aujourd’hui un projet bien établi : elle veut poursuivre encore ses études pendant un an, avant de travailler dans le domaine des matériaux composites, qu’elle a découvert au cours d’un stage, et où sa formation de chimiste est recherchée.
Les quatre filles ont presque toujours vécu en autonomie, se liant peu à leurs voisins ou à leurs camarades de classe. C’était encore plus vrai pour Alice et Stéphanie, dont les âges sont très proches. Anne a d’abord joué le rôle de la grande sœur, puis la différence s’est atténuée lorsque Alice et Stéphanie ont grandi à leur tour. Quant à Élodie, elle a partagé très vite les jeux de ses trois sœurs. Bien sûr, il y a eu des moments de tension au fur et à mesure que chacune des quatre filles traversait les périodes difficiles de leur adolescence, mais rien n’a rompu l’amour qui lie les quatre sœurs.
En pensant plus ou moins consciemment à tout cela, Stéphanie parvient dans la cuisine, prépare le café, glisse quelques tranches dans le grille-pain et s’assied ...
... devant sa tasse, en attendant que les premières actions de la journée parviennent à leur terme. Elle prend un soin non dissimulé à confectionner ses tartines, et savoure chacune d’elle comme si elle en découvrait le goût. Le petit-déjeuner dure jusqu’à ce que l’appel de la douche devienne irrésistible. Stéphanie range alors rapidement les ingrédients du repas et passe un coup d’éponge dans la vaisselle qu’elle rince et laisse à s’égoutter.
Elle entre dans la salle de bain, qui n’est pas vaste. Devant elle, un grand miroir occupe la hauteur complète du mur. Elle a donc tout le loisir d’observer son corps. Elle se saisit des bretelles de son caraco, qu’elle retire en dévoilant ses seins. Ses doigts en caressent la forme : ils descendent en pente douce depuis leur naissance diffuse sous la clavicule. Puis, ils s’affirment nettement. Leurs aréoles brunes sont le cadre discret de leurs pointes arrondies. Entre les deux collines si fermement délicates s’étend un léger relief recouvert de la même peau si timidement colorée que celle des seins. Puis ses mains glissent doucement sur son ventre jusqu’à ses hanches. Elle saisit du bout des doigts l’étoffe blanche de son slip. Dans une caresse, le tissu découvre la rondeur de ses fesses. Stéphanie se baisse à peine pour retirer le sous-vêtement qu’elle pose négligemment près d’elle.
Elle est maintenant nue dans cette petite pièce, mais ne se hâte pas de rentrer dans la cabine de douche. Elle est grande et mince, mais une musculature ...