1. EroTel (1)


    Datte: 25/04/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Forkle, Source: Xstory

    ... autre chambre ; les couleurs ressemblaient à celle d’un animé, d’ailleurs, il en était de même pour mon corps.
    
    Je n’avais rien senti en arrivant ici, mais tout semblait réel. Je touchai mes bras, les meubles, mon lit ; tout avait une texture réelle. Je restai bouche bée un instant et lâchai un "waouh".
    
    J’entendis quelqu’un sonner à l’entrée. Je descendis les marches lentement, toujours étonné. Quand j’ouvris la porte, une superbe fille me fit face ; elle avait de courts cheveux bleu-vert, de grands yeux marron et était vêtue d’une minijupe.
    
    — Hey ! sourit-elle.
    
    — Qui es-tu ? lui demandai-je.
    
    — Yukino, rit-elle. Tu dois être mal réveillé !
    
    Visiblement, elle me connaissait, mais moi, non. Elle semblait si réelle aussi, elle dégageait un doux parfum. Elle entra et je pus constater que sa jupe était bien moulante ; ses fesses bombées étaient bien visibles et j’en eus une érection.
    
    — Tout va bien ? me demanda-t-elle. Tu sembles étrange ?
    
    J’étais toujours sous le choc, ça me semblait si bizarre et si vrai ; une étrange sensation m’envahit, me perturba, je ne comprenais plus. Aucun son ne sortit de ma bouche, l’étonnement avait eu raison de moi ; cette expérience était totalement impensable et surréaliste.
    
    — Je vais t’aider !
    
    Je sursautai et rougis quand elle passa sa main dans mon pantalon ; le contact de ses doigts sur ma verge était agréable ; ses fins doigts étaient chauds et doux. Elle me sourit tout en me caressant, le contact de sa main était ...
    ... si vrai.
    
    Elle m’embrassa, je lui rendis son baiser ; ses lèvres étaient douces, si réelles. Tout ça était impensable pourtant, ça m’arrivait. Je sursautai quand elle abaissa mon pantalon et se mit à me sucer ; c’était si étrange, j’adorais le contact de sa langue sur mon gland, ses va-et-vient : ma queue qui rentrait au fond de sa gorge. Les bruits qu’elle faisait m’excitaient tout autant.
    
    Elle se redressa ensuite et m’embrassa.
    
    — Fais-moi l’amour, me souffla-t-elle.
    
    Je l’aidai à se déshabiller et la poussai contre le canapé ; j’avais ses fesses bandantes en face de moi, elle était si excitante. Je la fixai dans cette position torride et souris avant de la sodomiser ; dès que j’entrai dans son cul, elle lâcha un cri de douleur ; son petit trou était très serré, doux et chaud. Je la pénétrai lentement, entrant au plus profond d’elle ; ses cris de douleurs devinrent gémissements de plaisir.
    
    — Oh oui ! Vas-y ! cria-t-elle.
    
    Je l’attrapai par les hanches et me mis à la sodomiser de plus en plus vite, claquant ses fesses au passage. C’était si bon, entrer dans son cul semblait si réel, cette douce sensation m’excita au plus haut point ; j’allais de plus en plus vite, elle criait de plus en plus. Ses halètements et cris de plaisir ne parvenaient plus à mes oreilles, c’était si bon que je m’en foutais totalement ; l’excitation me poussa à la défoncer.
    
    J’y allais de plus en plus fort, la faisant crier jusqu’à l’orgasme ; et quand je jouis, elle s’effondra au sol, ...