1. Kentin 15 Un Week-end Horrible


    Datte: 23/04/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Kentin, Source: Hds

    Quelques semaines plus tard, le Vendredi soir, Kristina débarqua à la maison pour le week-end. Son mari ne l’avait pas accompagnée. Corinne ne m’avait rien dit. Elle voulait me faire la surprise. C’est moi qui ait ouvert la porte à une femme brune, mince, la trentaine bien tassée, les cheveux courts.
    
    -Bonjour, je suis Kristina. Tu es Kentin si je ne me trompes.
    
    Elle m’a tendu la main. La poignée de main était un peu rigide.
    
    -Oui, en effet. Corinne est bien bientôt prête. Entre, et installe toi si tu veux.
    
    -Je préférerais que tu en reste au vouvoiement avec moi. Cela facilitera les choses.
    
    Cette remarque m’a refroidi. Corinne est descendue elles se sont embrassées sur la bouche sans insister comme deux vieilles amantes. Il y avait une intimité non feinte entre elle. Corinne lui a fait visiter visiter la maison. Elles m’ignoraient totalement et semblaient enjouées toutes les deux. Corinne semblait légère et joyeuse. Kristina dirigeait les opérations et cela lui convenait. Elle était redevenue la jeune femme fraîche et insouciante que j’avais rencontrée. Elle riait de tout. Comment sa maternité et notre vie de couple et notre vie professionnelle avait pu nous rendre si terne? Tout était pourtant si facile. Facile oui, mais sans moi.
    
    - Si tu me suivais, Kentin.
    
    C’était Kristina. Nous sommes allés dans le bureau. Elle portait une sacoche en cuir noir qu’elle a ouverte.
    
    - Corinne m’a tout expliqué de votre intimité. Elle souhaite te rendre heureux plus que ...
    ... tout. Elle souhaite de son côté être heureuse, comme femme, comme mère et aussi comme amante. Et c’est sur ce dernier point qu’il me semble qu’il vous faudra tous deux parcourir un certain chemin. Et c’est pourquoi, je suis là ce week-end. Ce soir, je dormirai avec Corinne dans votre lit conjugal et nous ferons l’amour. Tu n’en souffriras pas trop?
    
    - Comme il vous plaira. Je n’ai pas mon à dire.
    
    - Bien sûr, que tu as ton mot à dire. Et je veux l’entendre. Bien entendu, ton avis ne sera pas pris en compte… Mais, apprends d’abord, à répondre aux questions que l’on te pose.
    
    En souffriras-tu?
    
    - Je serai malade de souffrance, malade de la savoir dans vos bras à deux pas de moi de savoir qu’elle vous offrira son corps qu’elle me refuse. D’avoir le sexe dans un étui, d’être réduit à l’état d’un enfant sans sexualité.
    
    - Voudras-tu prendre un calmant pour t’aider.
    
    - Non, je préfère souffrir, plutôt que d’être sous camisole chimique comme un pauvre fou. Si vous ne pouvez pas assumer la conséquence de vous actes en me sachant pleinement lucide, je vous plains!
    
    -Cela ne me gène nullement.
    
    Elle sortit alors de son sac un objet en plastique munie d’une poire.
    
    - Tu sais ce que c’est? Tu en as déjà utilisé? C’est une poire à lavement. Ce soir c’est moi qui vais qui vais exécuter ta traite. Et je veux que tu sois propre à l’intérieur. Alors tu files dans la salle de bain et tu te vides, ensuite tu te fais belle et tu nous rejoins pour le dîner. Là dessus elle est ...
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