Tombés du ciel (26)
Datte: 22/04/2022,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... s’étrangla à moitié Bérénice.
Mais devant le rougissement avancé des joues de Myriam, la vérité éclatait au grand jour.
— J’ai juré de ne jamais rien dire de ça ! se lamenta Myriam.
— Et ce n’est pas nous qui en diront un mot. Hein, Alicia ?
— Bien sûr. Comme toi qui ne piperas mot de ce que tu as vu et entendu ce soir.
Alicia tenta de présenter cela comme un compromis, un arrangement, plutôt que comme une menace. Myriam sembla le prendre ainsi et approuva le deal.
— Bien, bien. Je vais y aller alors.
— Attends ! Juste une chose, Myriam. Ça ne m’a pas plu ce que tu as dit !
— Sur quoi, Bérénice ?
— Sur le fait que nous étions toutes plus belles, plus minces ou jeunes que toi ! Ce n’est pas le cas ! Enfin, tu as tes propres atouts !
— Mes atouts ?
— Tes seins, pour commencer ! tonna Alicia. Quelle superbe paire de nichons !
— Et ton cul, bien rond, bien charnu.
— Gros et gras surtout !
— Mais non. Je crois que tu n’as pas vu qu’il s’était bien raffermi, lui dévoila Bérénice.
— Mais non !
— Mais si ! Regarde. Alicia, aide-moi.
Alors, d’un mouvement d’une extrême douceur, les deux femmes firent descendre le pantalon de survêtement de Myriam. Il laissa apparaitre une culotte taille haute, pour plaquer le ventre de Myriam, mais dont l’entrejambe était visiblement humide. Les cuisses larges étaient pourvues de capitons mais le galbe général restait agréable. D’une main, Bérénice se mit à pétrir la fesse adipeuse de Myriam en lui ...
... susurrant quelques mots :
— Oui, ta culotte de cheval est là mais tu sens ce muscle qui roule dessous.
— Et ces cuisses, elles ont aussi une certaine fermeté, renchérit Alicia en massant Myriam. Tu ne l’as pas remarqué ?
— Non, je ne me regarde jamais dans la glace...
— Dommage, tu aurais aimé ce changement subtil. C’est toujours toi, avec tes atouts.
— Et mon gros cul !
— Oui, un bon cul. Patrick, il l’aime, hein ?
— Mmmh, il le pétrit souvent, lâcha faiblement Myriam comme les mains de Bérénice et Alicia la massaient toujours.
— Tu vois. Et le reste est tout aussi appétissant, je suis sûre, poursuivit Alicia.
Bérénice et elle attrapèrent le t-shirt de Myriam et le remontèrent au-dessus des gros seins de celle-ci. Comme elles s’y attendaient, les seins étaient sortis des bonnets et pendaient un peu sur la poitrine de Myriam. Les tétons étaient d’un belle taille, proportionnée à celle des seins qu’ils terminaient. Les globes laiteux de la bouchère étaient gros, moelleux et avaient dû être de sacrés obus dans sa jeunesse. Là, ils avaient perdu de leur superbe mais auraient plu à la plupart des hommes sur Terre.
— Quels nibards ! s’exclama Alicia.
— Mais les tiens ou ceux de Bérénice se tiennent. Moi, ils tombent.
— Oui, un peu, mais redresse-toi. Comme je vous le dis pendant le cours...
Myriam se redressa lentement sous l’impulsion d’Alicia qui, d’une main sur ses reins et l’autre sur son sternum, incitait la femme à mettre sa poitrine en ...