1. La bourgeoise et le marabout (74)


    Datte: 21/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... c’est bien mieux qu’un seul. A l’instar du témoin que l’on se passe de main en main tous les 100 mètres, la femme passe de main en main pour être le propre témoin de son plaisir.
    
    Ce soir, mes quatre relayeurs sont en pleine forme et je prends mon pied. Mon plaisir est certainement décuplé par le fait qu’à chaque instant, à chaque orgasme, je sais que mon mari François est là à nous regarder.
    
    Malheureusement, la fin de la course est proche. Naïm qui m’a baisée le premier vient de jouir de nouveau en m’arrosant le dos après s’être bien branlé. Il est maintenant hors circuit. Johann vient de me plaquer contre son bas-ventre et je sens ses couilles contre mes fesses. Il m’enserre la taille avec force et, dans un long feulement de tigre, se vide dans mon étroit boyau. Le second coureur vient de lâcher prise.
    
    Plus libre de mes mouvements, je peux maintenant accélérer le rythme et mieux satisfaire Moussa sur lequel je suis installée. Sa grosse queue n’a aucun mal a coulissé dans ma chatte qui s’est parfaitement adaptée au calibre de son engin. Mais je sens qu’il est presque à bout de souffle alors je serre mes muscles intimes pour mieux emprisonner son mandrin. Je le vois fermer les yeux, se mordre les lèvres pour ne pas crier son plaisir et voilà qu’un puissant jet de foutre se répand en moi. Je m’immobilise pour qu’il se vide bien ; le troisième coureur est HS.
    
    Je reste empalée sur sa queue d’ébène qui lentement diminue de volume en moi. Je me concentre sur la bite de ...
    ... Kévin que j’ai en bouche. Je le tète avec gourmandise, voire avec frénésie. Je lui malaxe les bourses et lui caresse les cuisses tout en aspirant son gland au plus profond de ma gorge. Bien qu’il soit hors jeu, Moussa me pince légèrement les tétons ce qui ne fait qu’augmenter mon excitation. Mais voilà que Kévin me prend la tête à deux mains et me colle le visage contre son bas ventre. Il se raidit, pousse à son tour un cri de bête sauvage et me déverse toute sa sauce en fond de gorge. Je n’ai pas besoin de déglutir pour avaler toute sa semence, elle est allée directement dans mon gosier. Le quatrième relayeur est lui aussi à bout de souffle mais je viens de franchir avec succès la ligne d’arrivée.
    
    Une quinzaine de minutes plus tard, François entre dans le salon en s’écriant
    
    - Voilà, j’ai terminé mes travaux pour madame la ministre de la culture.
    
    Allongée sagement sur le canapé, dans la même position que j’avais lorsqu’il nous a quitté, je lui réponds
    
    - Chéri, j’avais peur que tu te sois endormi dans ton bureau.
    
    et je poursuis
    
    - Et je crois bien que nos quatre jeunes artistes en ont fini avec moi.
    
    François se dirige vers les quatre jeunes, si studieux que l’on jurerait qu’ils n’ont pas quitté leurs sièges depuis le départ de mon mari.
    
    C’est Johann qui annonce triomphalement
    
    - Voilà monsieur de Saint Jouy, nos dessins sont achevés.
    
    Les quatre jeunes garçons se lèvent et tendent leurs dessins à François qui les regarde et s’écrie
    
    - C’est super, ...