La bourgeoise et le marabout (74)
Datte: 21/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... je me tourne vers les trois jeunes gens et je leur dis
- Messieurs, j’accepte avec plaisir. C’est la première fois que je vais poser et je vous autorise à me dessiner comme vous le souhaitez. Pendant que je vais chercher le champagne que vous avez apporté, je vous laisse le soin avec François de voir comment vous installez l’atelier de dessin.
Je me lève avec lenteur de mon fauteuil en veillant à bien entrouvrir le compas de mes jambes puis je m’éloigne en direction de la cuisine en ondulant de la croupe.
Lorsque je reviens, j’ai l’impression d’avoir changé d’appartement. Le canapé a été déplacé, la table basse poussée dans un coin, les fauteuils sont un peu plus loin face au canapé alors qu’un petit guéridon a été rapproché. Les puissants spots du plafond sont éteints et la pièce n’est plus qu’éclairée par une lampe sur pied qui diffuse une lumière rougeâtre. Je lance à François
- Mais où sommes nous ?
Il me répond
- Avec ces quatre jeunes artistes, nous avons décidé de reconstituer l’ambiance d’un bordel de Pigalle. Ils vont me faire quatre dessins à la Toulouse-Lautrec !
Je m’exclame
- Voyons chéri, je ne vais pas me mettre nue devant ces jeunes gens.
Se tournant vers les quatre jeunes, il leur dit d’un ton jovial
- Oh, madame fait des manières alors qu’on lui demande simplement de poser pour l’un des plus grands artistes parisiens du moment.
puis, se tournant vers moi, il me dit
- Mais non chérie, sois rassurée ! Je te demande ...
... simplement d’entrouvrir légèrement le haut et le bas de ta robe puis de t’installer sur le canapé avec une attitude lascive comme si tu étais l’une des pensionnaires du bordel où se rend régulièrement Toulouse-Lautrec.
Je pose la bouteille de champagne et les coupes sur le guéridon. François m’ayant demandé de porter ma robe noire munie d’une fermeture éclair fonctionnant dans les deux sens, je n’ai aucun mal à l’ouvrir jusqu’entre mes seins. Lorsque je me penche pour remonter la fermeture éclair du bas jusqu’à mi cuisses, il est évident que j’offre une superbe vue sur mon 85C. Je m’allonge ensuite sur le canapé, le dos calé par de gros coussins apportés par François.
Ce dernier demande ensuite aux quatre jeunes de s’installer dans les fauteuils disposés à environ un mètre cinquante face au canapé et leur distribue feuilles et crayons. Puis il s’approche de moi et me sert une coupe de champagne en me disant
- Imagine que c’est ton dernier client qui t’offre du champagne après avoir profité de tes charmes.
Je me saisis de la coupe, adopte une position des plus sensuelles, un genou relevé de manière à ce qu’on voit la jarretière de mes bas, rejette la tête en arrière et bombe la poitrine pour mettre en valeur mes seins.
François semble satisfait ; il se retourne alors vers les quatre jeunes gens qui attendent le crayon à la main. Il leur dit
- Messieurs, pendant que vous laissez libre cours à votre talent, je vais me réfugier dans mon bureau pour boucler quelques ...