L'épreuve du trio
Datte: 20/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Dante67, Source: Xstory
... droit au but pour lui parler de mes fantasmes. Elle avait été d’une docilité remarquable et avait expérimenté avec moi de nombreuses premières fois : premières gifles, premiers coups de fouet, premiers coups de martinet, premières pinces, bifles... mais ce qui faisait le bonheur d’Emilie, c’était deux choses : les fellations et les gifles.
Émilie était un phénomène. Elle engloutissait les membres jusqu’à la base avec une facilité déconcertante. Elle suçait avec sa gorge comme jamais aucune fille n’en avait été capable, et elle y prenait un plaisir non dissimulé. Se faire vertement gifler avait été pour elle une révélation, et dès notre première rencontre, elle n’a jamais cessé de me vouvoyer et de m’appeler "Monsieur", me suppliant de temps en temps de revenir la voir pour un bon aller-retour sur ses joues et ma queue contre sa glotte. La savoir en demande, là, quelque part a toujours été une idée un peu réconfortante.
Liora, de son côté, était à ce moment-là en période de doute. Oui, elle aimait être soumise, mais n’était pas certaine d’être capable ou de vouloir aller jusqu’aux extrémités que j’avais en tête pour elle. J’étais néanmoins persuadé de déceler chez elle un énorme potentiel, allant encore bien au-delà de ce que cette histoire nous réserve.
***
C’était un samedi soir, il était 18h30 et nous attendions patiemment à la maison. Le rendez-vous avait été arrangé près de deux semaines à l’avance, et cette rencontre soigneusement préparée puisque nous avions ...
... chacun passé tous les tests possibles et imaginables afin d’en profiter pleinement. Les labos avaient rendu leur verdict : "Monsieur, vous pouvez juter sans protection dans chacune de ces salopes en toute quiétude." Ce n’était peut-être pas la formule exacte, mais c’est ainsi que je m’en souviens. Liora avait une peur panique des aiguilles, et j’étais déjà plutôt fier qu’elle l’ait surmontée afin de permettre à chacun de passer un agréable moment.
Liora et moi devions avoir environ 25 ans à cette époque. J’étais sur l’ordinateur à pianoter et elle s’affairait dans la cuisine, nue sous sa robe courte et moulante tandis que nous attendions une jeune étudiante pour participer à nos ébats : un pur cauchemar féministe !
Liora sautait dans tous les sens comme une pucelle.
— Et si on ne se plaît pas ?
Je chassai la réponse naturelle qui me vint à ce moment-là, comprenant que ma soumise avait besoin que je la rassure dans un moment de peur. Mon réflexe aurait été sans nul doute de lui rappeler que sa volonté à elle ne lui appartenait déjà plus tout à fait, et que l’objectif final était que son plaisir – comme sa personne – soit accessoire.
— Ne t’inquiète pas : je n’aurais pas organisé cette soirée si je n’avais pas l’absolue certitude que vous vous entendrez parfaitement.
Émilie arriva enfin. Elle était vêtue d’une tenue que je jugeai peu pratique : un jeans et un haut très casual. Nous l’avons accueillie chaleureusement avant de nous installer au salon. Je servis ...