La bourgeoise et ses amants. (6)
Datte: 20/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... Les poignées des deux tiroirs et les contours de la console sont en inox. La finition est réalisée en cire naturelle teinte bois clair.
Je lui explique que j’habite à Paris et lui demande s’il serait en mesure d’effectuer une livraison. Il me répond que oui car leur atelier livre régulièrement des pièces dans des magasins de la capitale.
Avec son accord, je prends quelques photos de la console que j’envoie à François pour lui demander son avis. N’ayant pas de réponse instantanée, je demande si je peux patienter dans la boutique.
Tandis que je flâne dans la boutique regardant les tables basses, fauteuils, canapés et autres meubles d’intérieur, le jeune homme se remet à ses occupations.
Soudain, je suis attirée par les petits tableaux fixés aux murs. Je m’approche et je découvre qu’il s’agit de superbes dessins érotiques encadrés de manière très originale. L’un est intitulé « La dame au pantin » et représente une femme dénudée dans son boudoir tenant entre ses mains un homme qui se transforme en pantin. Un autre est titré « Le bouge à matelots » et montre l’intérieur d’une maison close où des prostituées s’offrent à des marins.
Soudain, alors que je suis en train de regarder le suivant qui porte le titre très évocateur de « Pornocratès », je sursaute lorsque le jeune homme, venu silencieusement juste derrière moi, me demande
- Vous semblez apprécier ces tableaux ?
Je lui réponds
- Oui, beaucoup ! D’autant plus que mon mari travaille au ministère de la ...
... culture à Paris où il s’occupe des musées nationaux.
Tandis que j’observe de plus près le tableau qui représente une grande femme nue - les yeux bandés - guidée par un cochon, on se colle à moi et deux mains m’enserrent la taille.
- Ce sont des œuvres de Félicien Rops, un peintre originaire de Namur qui s’est particulièrement fait connaître pour ses œuvres érotiques.
poursuit le jeune homme avant d’ajouter
- Il est mort en 1898 et il a son musée rue Fumal au centre ville.
Les mains sur mes hanches se font plus pressantes et remontent avant de se plaquer sur mes seins.
- Je m’appelle Georges et j’apprécie les jolies bourgeoises comme vous.
me dit-il à l’oreille.
Sans me retourner, les yeux toujours fixés sur le tableau, je réponds
- je m’appelle Hélène et j’aime les hommes qui savent ce qu’ils veulent.
Georges m’entraîne vers une autre pièce qui lui sert d’atelier ; l’endroit sent bon le bois, le vernis et la cire. Lui s’installe sur un canapé presque terminé et il me fait mettre accroupie devant lui, les genoux posés sur un petit repose-pieds en merisier recouvert de velours grenat. Je comprends vite ce que le jeune homme attend de moi. J’ouvre sa braguette, prends son sexe en main et le branle doucement. Bien vite, sa tige grossit dans ma main et il est temps de l’emboucher.
Sa queue, large et épaisse mais courte, me déforme la bouche tellement elle me remplit. Je la suce avec délectation, ma salive coule le long de la hampe puis dégouline sur ...