Ma collègue de bureau… et son neveu (10)
Datte: 18/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: K-ro, Source: Xstory
... je me caresse tranquillement avec un doigt dans ma fente humide.
Au bout de deux heures trois quarts, le film prend fin et j’éteins les appareils dans un silence que personne ne rompt. Pour éviter de se manifester sur notre état, Martine se lève et annonce qu’elle va aux toilettes, car elle se retient depuis un moment. Profitant qu’elle n’est pas là pour un court moment, nous attaquons Guillaume. Ber se branle juste un peu pendant que j’attrape la bite de mon jeune voisin en lui disant :
— Bon, voilà : tu vas être le premier à aller dans ta chambre. Ensuite tu sortiras par la porte-fenêtre derrière et tu attendras en silence devant celle de notre chambre.
— Euh...
— A moins que ça ne t’intéresse pas de t’amuser un peu avec nous.
— Non, non, c’est bon. Bien sûr que ça me dit.
— Bon, alors c’est OK. En attendant, fais un peu comme Ber pour narguer ta tante. Mais pas trop, garde tes munitions ! Et je te promets une bonne surprise...
Je libère sa queue qu’il s’empresse de prendre en main pour la caresser assez tranquillement pendant que mon doigt continue à s’activer en douceur sur mon clito. C’est dans cette configuration que Martine nous trouve à son retour des toilettes :
— Ah ben, ne vous gênez pas, surtout ! Et toi qui les laisses faire.
— Allez, laisse-les. Avec ce film, c’est normal qu’on soit excités. Pas toi ?
— C’est pas la question. Guillaume, franchement, faire ça devant moi...
— Euh oui... Excuse-moi, Marraine. Je vais aller dans ...
... ma chambre.
Et il se lève, la tige bien raide au-dessus de l’horizontale et se dirige vers le couloir des chambres. Ce qui l’amène vers sa tante à côté de laquelle il doit passer. En route, il éprend son engin en main et remet en route de lents aller-retour. Martine est tellement abasourdie qu’elle ne lui dit rien et même se tourne un peu lorsqu’il l’a dépassée pour continuer à le suivre du regard. Il disparaît enfin et elle nous prend à témoin :
— Non, mais vous avez vu ce qu’il ose faire devant moi. Et devant vous ?
— Oh, ça va, y a pas mort d’homme. Il a forcément des besoins naturels à son âge.
— Je veux bien, mais tout de même, il peut faire ça sans nous en faire profiter.
— Moi, ça me gêne pas, et Ber non plus.
— Oui, je me doute, il fait pareil, alors forcément ! Et toi tu l’as déjà aidé...
— Allez, dis-nous sans mentir que le film t’a pas excitée.
— Bon, c’est vrai, mais...
— On s’en est bien rendu compte, tes tétons étaient raides. Et sa queue, elle te tente, non ?
— Oh, allons, je t’ai déjà dit...
— Oui, je sais, c’est ton neveu. Mais ne me dis pas que tu ne la regardes pas avec envie. Tes cabochons clignotent encore. Je parie que tu mouilles.
— Oui, bon, j’avoue que ça me trouble un peu l’esprit. Mais tout de même.
Nous nous levons, nous approchons d’elle pour l’entourer et je lui suggère :
— Et si on allait un peu calmer tout ça ensemble dans notre chambre ?
Ce disant, je lui pince un des ses cabochons qui continuent à ...