1. Couple


    Datte: 18/04/2022, Catégories: fh, jeunes, amour, miroir, Oral 69, pénétratio, fdanus, hdanus, initiatiq, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... simple.
    — Quand on dit que les filles se prennent la tête par rapport aux garçons, ça me fait doucement rigoler… Bon. Tu veux savoir si j’aime vraiment tout ça ?
    — Ben oui, même si je pense connaître la réponse, j’aimerais bien l’entendre.
    — Comme si j’avais pas été claire après le cinéma, l’autre jour ?
    — Si, si, c’est vrai, pardon, tu as raison, laisse tomber, je suis lourd avec ça.
    
    Elle éclate de rire.
    
    — En fait, t’es un gros cochon, mais un vrai gentil, et grand romantique avec ça. C’est a-do-ra-ble !
    — Tais-toi, tu t’es vu, fantasme-à-pattes !
    — Alors pour te répondre vraiment : et bé, OUI, IDIOT. Oui, j’aime vraiment ça avec toi. En fait, parfois même je t’en veux de ne pas m’avoir sauté dessus au lycée. Imagine toutes ces années perdues, putain !
    — Moi aussi j’y ai pensé. Mais peut-être que je m’y serais mal pris – j’en suis capable, hein, t’as vu –, tu m’aurais baffé, et on ne serait pas là ce soir.
    — C’est pas faux.
    — On est là, ensemble, on s’éclate. Le passé, le reste on s’en fout !
    
    Et on en trinque.
    
    Le serveur nous fait découvrir de la purée d’avocat sucrée glacée, assaisonnée au citron vert et au rhum en dessert. Bizarre, mais super bon en fait !
    
    Sur le chemin du retour, je la laisse partir devant pour l’admirer. Elle fait la belle en faisant chalouper son cul, perchée sur ses talons. Je la traite de petite coquine exhibitionniste, elle regarde à droite à gauche, personne. Hop, elle se tourne, et fait sortir sa poitrine, puis les remet ...
    ... en place. Attends, toi. À un moment on traverse un passage couvert, bien isolé. Je la plaque contre un mur et lui roule une grosse pelle bien sexe en soulevant une cuisse. Elle se laisse faire. Sa robe bustier m’excite. D’un coup, je mets sa poitrine à l’air, et commence à lui manger un téton.
    
    — Arrêteuh, t’es fou !
    — Chut, y’a personne, suce-moi.
    — Non.
    
    Elle re rentre ses seins. Je la force à s’accroupir et je sors mon engin, ce fantasme du viol… Elle refuse, du moins joue à refuser : si c’était vraiment un VRAI « non » franc et massif, bien évidemment que j’aurais stoppé, hein : comment prendre du plaisir en faisant souffrir sa partenaire, non consentante pour cela ?
    
    Je la biffle, elle me regarde, furieuse, mais elle n’attend que ça, je suis quasi-sûr. Rien à foutre, je lui pince le nez pour qu’elle ouvre la bouche. Elle cède, prend ma queue en main et commence à me sucer. Au bout d’un moment, ça lui plaît vraiment, elle commence à branler sa chatte dans sa culotte. Elle gobe mes couilles, toutes lisses, j’entends même un huuum de satisfaction, comme si elle mangeait un rocher Suchard. J’en profite pour de nouveau sortir ses seins et tirer ses mamelons. Elle me chasse pour remettre sa poitrine en place. Je recommence, elle s’énerve.
    
    — Arrêteuh putain, c’est pas ma robe !
    
    Du coup je m’arrête, la relève, et l’embrasse, tendrement cette fois.
    
    — Merci pour ce délire, ma chérie.
    — T’es vraiment qu’un gros vicieux.
    
    Je touche son string, c’est chaud et bien ...
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