Les femmes matures de ma vie : #2 Christine
Datte: 17/04/2022,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Cartouche, Source: Hds
Et voici le deuxième épisode de la série : « les femmes matures de ma vie ». J’ai décidé de vous raconter, dans cette série, les retrouvailles avec les femmes qui m’ont fait fantasmer durant ma jeunesse. Elles sont maintenant des femmes matures (entre 60 ans et 80 ans) mais pour la plupart encore très excitantes. Vous verrez, également, qu’elles sont bien en chair ; Eh oui, j’adore les femmes avec des gros seins et un gros cul.
Dans cet épisode, j’ai retrouvé mon ancienne professeure de français / latin de seconde.
À l’époque, Christine T-F devait avoir 50 ans et divorcée. C’était une vraie peau de vache, elle aimait écraser les élèves qui n’étaient pas très doués dans ses matières. Malheureusement pour moi, j’en faisais partie. Cependant, cela ne m’empêchait pas de lui vouer une véritable admiration. Et pour cause, Christine était, à mes yeux, le fantasme ultime. Elle n’avait pas un beau visage, mais alors, une énorme paire de nichons qu’elle mettait en avant avec beaucoup d’arrogance, et un joli petit cul bien rebondi qu’elle mettait en valeur avec ses pantalons et tailleurs.
Je la détestais et l’admirai en même temps.
Je me suis déjà branlé au fond de la classe en matant son chemisier entre ouvert.
Il arrivait souvent que ses énormes seins frottent le tableau noir lorsqu’elle écrivait. Elle montrait une certaine sensualité lorsqu’elle tapait sur ses seins pour enlever la craie, on avait l’impression qu’elle se caressait les tétons. Avec le recul, je me ...
... demande si elle n’allumait pas un peu les jeunes qui étaient dans sa classe. Elle avait parfois un regard qui sentait le cul, un désir sexuel. Elle était surement en manque de bites.
Aujourd’hui, Christine a 78 ans, et je veux assouvir mon désir de la baiser et me venger
Je recherche sur Facebook, impossible de la trouver ; elle n’est sur aucun réseau social. Par contre, je trouve son adresse. Je décide d’aller y faire un tour. Elle habite dans un pavillon de banlieue, il y a bien son nom sur la boite aux lettres.
Puis je la vois, elle est dans son jardin. Je n’y crois pas mes yeux. Christine est allongée sur une chaise longue en train de lire un livre ; elle porte un short et un T-shirt. Comment l’aborder ? Elle est à 20 mètres de moi ! Mon cœur bat très fort.
Je vois à côté de son portillon d’entrée l’arrivée d’eau du jardin. Je vais essayer de casser son arrivée d’eau … mais quelle idée à la con !
Je tire un grand coup dessus, peut-être trop fort. J’arrache tout et je pars en courant. Un geyser d’eau se déverse dans son jardin. J’y retourne une minute après. Je retrouve Christine sous le geyser, complétement trempée. Je lui dis :.
- Laissez-moi vous aider Madame !
- Oui s’il vous plait.
Je rentre chez elle. À ce moment-là, elle se redresse et tombe en arrière.
Je parviens à arrêter le geyser d’eau et me dirige vers elle.
Quel spectacle devant moi. Christine est allongée par terre et mouillée, je vois son soutien-gorge au travers de son T-shirt. Je ...